Il n’a besoin ni d’artifices ni de grands effets pour marquer les esprits. Juste une voix, un micro, et cette intensité tranquille qui fait trembler les silences. Avec sa performance de “ONE” sur la scène épurée de COLORS, Black Sherif frappe droit au cœur. Pas d’arrangements superflus, juste la vérité mise à nu — et un artiste qui, encore une fois, prouve qu’il n’a rien à prouver.
Extrait de son deuxième album déjà culte, IRON BOY, “ONE” est tout sauf une simple ballade. C’est un souffle d’âme, une prière murmurée à voix haute. Blacko y parle de foi, de persévérance, de cette force invisible qui pousse à continuer même quand le chemin s’effondre sous les pas. Et sur le fond jaune emblématique de COLORS, il ne joue pas un rôle — il est simplement lui, brut, sincère, et profondément habité.
À 22 ans, Black Sherif n’est plus une étoile montante. Il est déjà au firmament, et il y reste parce qu’il sait pourquoi il chante. Du Ghana aux scènes internationales, il avance sans tricher, avec une intensité rare. Sa tournée triomphale aux États-Unis et en Europe, sa nomination aux BET Awards, et son retour très attendu à Londres et Birmingham cet été ne font que confirmer ce que ses fans savaient déjà : Sherif est un messager, pas juste un musicien.
Avec IRON BOY, il mêle afrobeats, highlife et hip-hop sans jamais perdre de vue l’essentiel : l’émotion, la vérité, la lutte. Des titres comme “So It Goes” en featuring avec Fireboy DML démontrent l’amplitude de son univers, entre introspection et ambition. Mais c’est dans des moments comme “ONE” qu’il touche au sublime.
Black Sherif ne suit pas la vague — il la crée. Et “ONE”, dans sa simplicité désarmante, en est la preuve éclatante.
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