Ce n’est pas juste un morceau, c’est un mantra. Une déclaration. Une montée d’adrénaline sur mesure pour ceux qui n’attendent pas leur heure : ils la provoquent. Avec Gametime Title Track, Brandon Mitchell transforme ses pas de danse en beats, ses convictions en rimes, et sa trajectoire personnelle en hymne collectif.
Brandon Mitchell n’est pas un inconnu des scènes, des écrans ou des cœurs. Mais ici, c’est en tant que rappeur qu’il s’affirme avec une précision redoutable. L’intro claque comme une gifle matinale : basse profonde, caisse claire tendue comme un tendon prêt à rompre, puis une voix qui déboule, claire, directe, galvanisante. Aucun artifice. Juste l’essentiel.
Gametime pulse comme un round de boxe : on y entre armé de doutes, on en sort debout, grandi. Mitchell livre une performance à la croisée du storytelling et de l’énergie brute, quelque part entre l’inspiration motivante d’un J. Cole et le charisme assumé d’un Nipsey Hussle. Sauf que sa voix reste la sienne : enracinée dans une vie de discipline, de foi et de résilience.
Le titre vibre à chaque mot de son auteur, car chez Brandon Mitchell, la musique n’est pas un jeu — c’est une extension de son éthique de vie. Le refrain, mi-mantra, mi-harangue, reste en tête longtemps après l’écoute, et s’écoute autant à la salle de sport qu’en période de doute existentiel. Parce qu’ici, le « gametime » n’est pas qu’un instant : c’est un état d’esprit.
Le Kansas rencontre Los Angeles, le danseur devient messager, l’homme devient voix. Et Gametime ? Un hymne à la hauteur de l’ambition.
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