bludnymph nous plonge dans ses “Body Parts”
Lorsque le monde du pop se mêle à la noirceur du rap, on découvre un univers inédit, celui de bludnymph. Avec son style envoûtant, audacieux et quasi mythique, cette artiste émergente nous immerge dans son monde fascinant avec son premier EP intitulé “DROOL”. Déjà récompensée par la reconnaissance d’Amazon Prime qui a choisi son titre “Lights Out” pour la promotion de “Gen V”, bludnymph s’affirme en tant que chef de file du Nymph Cult, hypnotisant une communauté grandissante avec chaque parole chantée.
Lorsqu’elle parle de “DROOL”, elle évoque sa passion pour Halloween, ou plutôt “Hallowbean”, en hommage à son surnom d’enfance, “bean”. Pour elle, cette fête est une célébration de monstres et de magie, un héritage familial devenu une part essentielle de son identité. Elle aspire même à en devenir l’icône, à la manière d’une Mariah Carey de Noël.
Mais c’est sur “Body Parts” que bludnymph se dévoile le plus. Elle y parle de son désir ardent de proximité physique, juxtaposé à sa peur de l’engagement et de la vulnérabilité émotionnelle. Le clip est une métaphore puissante : on y voit bludnymph, à la manière de Frankenstein, se construire elle-même. Elle souligne que cette chanson, en tant que single principal de son premier projet, marque le début d’une nouvelle ère, celle où elle façonne la femme qu’elle désire être.
Découvrez l’univers singulier de bludnymph, une artiste qui, sans nul doute, marquera la scène musicale de son empreinte indélébile et terriblement singulière.
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