Ça sent la poussière du bitume, la sueur froide des nuits sans sommeil, et ce frisson unique quand un artiste décide de ne plus encaisser, mais de rendre coup pour coup. Avec Haters Pressed, Nuk ne se contente pas de rapper : il cogne, il s’élève, il transforme les regards en biais en carburant pour aller plus haut.
Le beat est lourd, granuleux, traversé de basses qui grondent comme des moteurs en pleine course. Nuk y pose un flow acéré, presque animal, qui tranche l’air avec une précision chirurgicale. On sent derrière chaque mesure l’énergie d’un gamin de Brooklyn devenu homme en Pennsylvanie, forgé par les désillusions et les ambitions. Pas de posture artificielle ici. Nuk est dans le réel, dans le vécu, et ça s’entend.
Haters Pressed est un manifeste de résilience taillé pour ceux qui avancent malgré les regards qui jugent, pour celles et ceux qui connaissent la brûlure du doute mais refusent de s’arrêter. Dans l’univers de Nuk, la haine ne fait pas peur. Elle amuse. Elle galvanise. Elle prouve qu’il est sur la bonne route.
Ce morceau marque une étape clé pour cet artiste en pleine ascension. Avec sa voix qui sonne comme une promesse tenue et une production qui ferait trembler les murs d’un club à 3h du mat, Nuk annonce qu’il ne jouera pas petit. Et quelque chose nous dit qu’il n’a même pas encore lâché son coup le plus fort.
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