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Delvaux et Kasper Bosmans: Une Alchimie Créative à la Croisée des Mondes
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octobre 14, 2023

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L’Art Interview avec Antonina Maj
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À seulement 19 ans, Antonina Maj est une artiste qui pousse sa créativité à une réflexion conceptuelle mature

Envies Modes Chromatiques : Nouvelles Teintes Taigarama chez Louis Vuitton
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Mugler Célèbre le Glamour Audacieux pour l’Avant-Automne 2024
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février 13, 2024

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Avec l’introduction de sa première collection masculine par Casey Cadwallader, Mugler marque un tournant audacieux pour l’Avant-Automne 2024.

🎵🍔 Food & Music Trips (Turin #7) 🍔🎵
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🍸 Un cocktail = Une musique 🎶 Quand un Napoli Spritz se transforme en « Club Tropicana » de Wham

Ça cuisine quoi un artiste ?
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mars 26, 2024

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Vous connaissez notre passion pour mêler musique et food, et nous sommes toujours très curieux de savoir comment

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mai 23, 2025Pas besoin de grands discours quand le rythme suffit à porter la vérité. Avec My Life, Shigo Opesan délaisse les fioritures pour revenir à l’essentiel : raconter une trajectoire, une lutte, une affirmation de soi sur fond d’afrofusion percutante. Ce n’est pas seulement un morceau : c’est une déclaration d’existence, un souffle de Lagos étendu aux quatre coins d’un monde globalisé. La production est tendue mais vivante — percussions organiques, nappes afro-pop, synthés discrets qui laissent respirer la voix comme un griot numérique. Le beat claque, mais ne s’impose jamais au détriment du message. Shigo ne surjoue pas, il déroule son récit avec la sérénité de celui qui a traversé la tempête et danse désormais au milieu de l’éclaircie. Il y a dans son flow une fierté calme, presque noble, nourrie par les réalités de la rue et le rêve d’élévation. On pense parfois à Burna Boy pour l’élan fédérateur, à Olamide pour la verve rugueuse, mais Shigo trace sa ligne, quelque part entre introspection urbaine et mélodies d’espoir. Ce qui frappe surtout, c’est cette capacité à faire coexister le personnel et le politique sans slogans — raconter sa vie, c’est déjà dire quelque chose du monde. My Life, c’est le son d’un homme qui ne demande plus la permission d’exister. Il se place au centre, en pleine lumière, et dit : “voici ce que je suis, prenez-le ou laissez-le.” Et dans ce refus de compromis, il touche à l’universel. Pour découvrir plus de nouveautés AFRO, n’hésitez pas à suivre notre Playlist EXTRAVAFRO ci-dessous : J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 24, 2024🍸 Un cocktail = Une musique 🎶 Quand un Napoli Spritz se transforme en « Club Tropicana » de Wham !🍹 Vous auriez dit quoi vous ? 🧐 📍@farmaciadelcambio #food #musique #microtrottoir #italie #turin #voyage #trip #extravafrench #torino #cocktail #beverage #music J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 26, 2024Vous connaissez notre passion pour mêler musique et food, et nous sommes toujours très curieux de savoir comment un artiste exprime sa créativité dans une cuisine. « Quel est le plat que tu cuisines le mieux ? », est une question que nous posons systématiquement lors de tous nos interviews et on a voulu vous donner un premier échantillon, un avant-goût de toutes les recettes et plats alléchants que les artistes nous ont partagé. Pour cette première session, on retrouve les habitudes gourmandes de : 👉🏽 AA S.A.R.L (@a.a._sarl) 👉🏽 Kiara Jones (@KiaraJones) 👉🏽 Leo Fifty Five (@@LeoFiftyFive) 👉🏽 Täbï Yösha (@tabi_yosha) 👉🏽 Philippine (@philippine_off) 👉🏽 Rea (@realbelikee) #food #music #cuisine #interview #itw #musiquedumoment #artistes #recettes  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 26, 2024On a testé les Grands Buffets (@lesgrandsbuffets) et on salive encore pour tout ce que l’on a pas pu manger 🤤 Véritable temple de la Food, ce lieu nous a laissé bouche bée et le ventre bien plein, avec une terrible envie de revenir aussi souvent que possible 🍴 Un conseil, foncez-y ! #food#buffet#lesgrandbuffets#narbonne#foodporn#cuisinefrançaise#frenchfood#restaurant#foodvlog#vlog J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 26, 2024🍸 Un cocktail = Une musique 🎶 On vous fait découvrir l’histoire du Negroni Spagliato et la musique qu’à choisi notre host pour l’accompagner cocktail 🍹 Vous auriez dit quoi vous ? 🧐 📍@farmaciadelcambio #food #musique #microtrottoir #italie #turin #voyage #trip #extravafrench #torino #cocktail #beverage #music J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 26, 2024Quand un St Germain Spritz se transforme en mélodies sirènes Norah Jones 🍹 Toujours postés à Turin à la Farmacia Del Cambio, on a continuer à découvrir mélomanes et gourmands de nos voisins de table 🇮🇹 Vous auriez dit quoi vous ? 🧐 📍@farmaciadelcambio #food #musique #microtrottoir #italie #turin #voyage #trip #extravafrench #torino #cocktail #beverage #music #bar #cuisine J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 26, 2024Rencontre avec une artiste lyonnaise exilée au Canada. Margaux Robert peint les moments de vie et ses émotionsen couleurs vives avec un style inspiré par le cubisme, le dadaïsme, le nouveau réalisme ou encore l’art figuratif. Cette fan de Yves Klein nous a accordé quelques minutes dans « l’Art Interview » afin de nous plonger un peu plus dans son « art de vivre ». 1 ) Qui es tu ? Je m’appelle Margaux Robert, j’ai 26 ans. Je suis originaire de Lyon et après 3 ans à Paris j’ai décidé d’aller m’installer à Montréal il y a presque deux ans. 2 ) Quel est ton parcours ? J’ai fait des études de commerce mais j’ai toujours eu un attrait et une passion pour toutes les formes d’art, notamment la peinture. C’est un art que j’affectionne particulièrement par sa capacité à remplacer l’utilisation de mots par une sensation qui nous prend au cœur, qui nous fait du bien ou nous interpelle. Je viens d’une famille dans laquelle la curiosité est le point d’orgue de nos discussions et de nos partages. J’ai le souvenir de ma mère, lors de nos voyages, énormément investie dans la lecture des guides et fascicules de musées, à la recherche d’explications sur les courants architecturaux qui avaient traversé les lieux et les époques. Nous déambulions dans les marchés (identité forte d’une ville), et contemplions les édifices remarquables à la recherche du petit détail qui remuait nos sens. 3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? Plus tard, j’ai eu moi-même un réel coup de cœur pour l’architecture. Quand je suis allée à New York au musée Guggenheim, je suis restée stupéfaite par la richesse de ses courbes et la blancheur immaculée de cette construction. Un simple trait tangible et immuable pouvait nous secouer toute une vie. C’est peut être cela qui se retrouve le plus dans mes peintures : des traits simples et directs, naïfs d’apparence mais que j’essaie de corréler avec des questionnements de notre époque : je donne une place importante au sexe féminin, en les représentant seules ou à plusieurs. Le collectif primera toujours sur l’individualisme dans cette lutte pour nos droits. J’ai le souhait que des femmes puissent s’y reconnaître, surtout dans une représentation non pas en tant que sujette mais plutôt en tant qu’actrice. 4 ) Quelles sont tes inspirations ? Les couleurs vives et criardes, les courbes s’inspirent bien sûr du cubisme, du dadaïsme, du nouveau réalisme et de l’art figuratif. Je suis une fan invétérée d’Edward Hopper dont j’ai eu la chance de voir l’exposition au Whitney Museum à New York (allez-y!). Je m’inspire aussi beaucoup de ce qui m’entoure et de mes voyages. 5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu créés ? J’écoute toujours de la musique lorsque je lis des livres pour chercher des inspirations ou que je fais mes premiers croquis : Weyes Blood, Phoenix, MGMT, Fishbach (mille fois), mais je finis toujours par mettre un Podcast (Archi Intéréssant, le Goût de M, etc.) ou France Inter car cela m’aide à rester concentrée lorsque je commence vraiment la toile. 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Je préfère clairement manger que cuisiner mais je dirais le gratin dauphinois 7 ) Quels sont tes projets à venir ? J’ai un projet à venir avec un ami médecin pour illustrer un sujet médical, more is yet to come ! 8 ) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? Je suis allergique à la charcuterie et au fromage alors que je suis française, qui dit mieux ?   9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? Yves Klein sûrement, j’essaierais de savoir ce qu’il a mis dans son bleu, coûte que coûte ! En plus de ça, il étalait de la peinture bleue partout (même sur le corps des femmes) et il ne s’excusait jamais, brillant ! 10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Le mot art n’est pas seulement décliné sur un médium mais englobe plusieurs facettes qu’on retrouve notamment dans l’art de vivre ! Donc soyez curieux, prenez le temps et n’oubliez pas que l’art est présent à chaque moment,  en nous donnant une autre vision de la réalité. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024On continue notre investigation aux sonorités gourmandes avec cette fois-ci l’intention de comprendre ce qu’un bon cocktail pourrait réveiller dans notre playlist intérieure 🍸 🎶 C’est donc toujours à Turin, et autour d’un « Pornstar » qu’on a pu obtenir la réponse 🇮🇹 Vous auriez dit quoi vous ? 🧐 📍@farmaciadelcambio #food#musique#microtrottoir#italie#turin#voyage#trip#extravafrench#torino#cocktail J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024C’est reparti pour un tour de saveurs sonores gourmandes, avec le « Food & Music Trips », un concept qui fait sonner vos assiettes en musique 🎶 Toujours à Turin, on a fait la connaissance d’un couple tout mignon qui s’est prêté au jeu, transformant ainsi l’expérience d’un sandwich et d’une potion de frites en un concerto de Beatles et de Red Hot Chili Peppers 🎸 Vous auriez dit quoi vous ? 🧐 📍@farmaciadelcambio #food#musique#microtrottoir#italie#turin#voyage#trip#extravafrench#torino J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024S’il y’a bien une chose qui réunit notre passion pour la musique ou pour la bouffe, c’est bien l’émotion qui s’en dégage, cette petite étincelle qui illumine et alimente nos esprits gourmands ✨ On a voulu creuser ce sentiment et comprendre comment chacun de nous associe un morceau ou un style musical à un plat ou une boisson qu’il est entrain de consommer 🎶 🍽️ C’est donc dans les rues de Turin que notre investigation commence avec deux françaises (on vous jure qu’on a pas fait exprès) et un simple plat de pâtes pomodori 🍝 Vous auriez dit quoi vous ? 🧐 #food#musique#microtrottoir#italie#turin#voyage#trip#extravafrench#torino#gourmandise#cuisineitalienne J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024Dans un tourbillon de couleurs audacieuses, Louis Vuitton injecte une dose de vitalité dans le paysage de la maroquinerie de luxe avec sa dernière interprétation de la collection Taigarama. Les accessoires emblématiques de la maison — le Keepall, le sac à dos Discovery, le tote Weekend et la valise Horizion — se parent désormais d’une palette révolutionnaire : tangerine éclatant, vert cactus vibrant et bleu agave mystique. Cette initiative, suivant les pas chromatiques de la première parade de Pharrell pour Louis Vuitton en juin dernier, marque une nouvelle ère où la couleur devient le langage universel de l’élégance. Au-delà d’une simple mise à jour, c’est un véritable renouveau que propose la maison française. Chaque pièce, fidèle à l’héritage de Louis Vuitton, est revisitée avec une audace contemporaine, mêlant la toile Monogram emblématique à des détails en cuir raffinés, dans un monochrome captivant. Les nouveautés de la collection, telles que le portefeuille portable Nano Alpha, le LV Moon et le sac bandoulière Gaston, ainsi que le sac caméra compact Alpha Messenger et le collier porte-cartes, incarnent cette fusion entre tradition et innovation, sport et luxe, dans les tonalités annoncées. Mais ce n’est pas tout. Louis Vuitton pousse l’expérience chromatique à son paroxysme en enveloppant d’autres accessoires du quotidien — organisateurs de poche, porte-cartes monnaie, couvertures de passeport — dans ce kaléidoscope de teintes. Chaque article devient une célébration de la couleur, un hymne à la joie et à la liberté d’expression. Disponible dès le 1er février, en parallèle avec la seconde vague de la collection homme Printemps/Été 2024 de Louis Vuitton, cette nouvelle collection Taigarama invite à l’exploration d’un univers où le style rencontre la gaieté. Un voyage chromatique qui promet de transformer chaque moment en une aventure luxueuse et colorée, où chaque accessoire devient le protagoniste d’une histoire fascinante de mode et de passion. Dans cette odyssée des couleurs, Louis Vuitton ne se contente pas de suivre les tendances ; il les crée, offrant aux amateurs de mode une invitation à embrasser la lumière, la couleur, et la vie elle-même, avec une audace inégalée. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024Avec l’introduction de sa première collection masculine par Casey Cadwallader, Mugler marque un tournant audacieux pour l’Avant-Automne 2024. La marque, célèbre pour ses créations artistiquement travaillées et résolument sexy, continue de fournir une armure moderne aux femmes tout en ouvrant un nouveau chapitre sous la direction du créateur américain Casey Cadwallader, à la tête de Mugler depuis 2018. La collection Pre-Fall 2024 révèle une nouvelle facette de l’identité Mugler, mêlant les codes esthétiques emblématiques de la maison à une vision contemporaine et tranchante. La grande nouveauté de cette pré-collection est l’introduction du prêt-à-porter masculin par Cadwallader. Pour sa première incursion dans l’univers de la mode masculine, le designer américain adopte l’esthétique sensuelle caractéristique de Mugler, enrichie d’une touche masculine plus affirmée. La collection masculine met l’accent sur une coupe impeccable avec des blazers carrés, des manteaux à épaules larges et des doudounes à panneaux, qui en sont les pièces maîtresses. Côté masculin, Cadwallader propose également des pantalons de costume élégants avec revers, ainsi que des pantalons inspirés du monde de la moto. Pour la collection féminine, les hauts ceinturés en noir et les robes dos nu se distinguent par leur sensualité. Les robes dominent l’offre féminine, avec une variété de modèles incluant des robes-corsets, des pièces à panneaux, des sélections en denim et des robes portefeuille chic. Découvrez la collection Avant-Automne 2024 de Mugler, où l’audace rencontre le glamour dans une célébration de la mode contemporaine, marquant ainsi l’entrée remarquée de Casey Cadwallader dans le prêt-à-porter masculin, tout en continuant d’honorer l’héritage sexy et artistique de Thierry Mugler. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024En honneur du Mois de Black History Month, Billionaire Boys Club lance une collection en collaboration exclusive avec le collectif artistique de Brooklyn, The League OTO, et l’artiste MrStarCity. Originaire de Brooklyn, David « MrStarCity » White jouit d’une notoriété sur les deux côtes, principalement à New York City et Los Angeles. Reconnu pour sa narration expérimentale à travers la poésie et la peinture figurative, MrStarCity est célèbre pour ses œuvres diversifiées embrassant plusieurs médiums. De la peinture à la sculpture, en passant par la poésie et la musique, l’artiste s’est fait particulièrement connaître pour ses portraits abstraits ludiques. Véritable conteur, capturant la beauté, la passion et le conflit, l’artiste imprègne les pièces emblématiques de Billionaire Boys Club de son style unique. La collection intègre l’empreinte artistique de MrStarCity sur des pièces de garde-robe essentielles, allant des hoodies aux t-shirts, en passant par les casquettes de camionneur. Il réinvente les motifs de la marque à travers sa vision créative, fusionnant le streetwear avec l’art raffiné. Ses œuvres vibrantes deviennent le motif principal sur des t-shirts et hoodies classiques noirs. La collection est disponible dès le 9 février sur BBCICECREAM ainsi que dans les magasins phares de NYC et Miami. Cette initiative marque une célébration de la culture et de l’héritage afro-américain, tout en mettant en lumière la créativité et le talent d’un artiste noir contemporain. Billionaire Boys Club, en s’associant avec MrStarCity et The League OTO, ne se contente pas de lancer une nouvelle ligne de vêtements ; elle contribue activement à la reconnaissance et à la valorisation de l’histoire et de l’art noirs. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024Emporio Armani dévoile sa collection Printemps/Été 2024, baptisée « Sustainability Values Capsule », une fusion magistrale entre le chic urbain et la vivacité de la nature. Cette capsule, véritable ode à la durabilité, intègre des matériaux organiques ou recyclés, s’inscrivant parfaitement dans la stratégie de développement durable de la marque. Pour les femmes, la collection propose des pantalons cargo, des vestes surdimensionnées et des pièces sensuelles telles que des crop tops, tous ornés de motifs animaliers. Les hommes, quant à eux, sont invités à adopter une allure décontractée avec des vestes de terrain, des shorts Bermuda et du denim agrémentés d’imprimés animaux. Le slogan « Welcome to the jungle » apporte une touche ludique aux sweatshirts et t-shirts, ajoutant une dimension de jeu et d’aventure urbaine. Les accessoires de la collection, incluant des baskets et des chapeaux de safari urbain, viennent compléter le thème inspiré de la jungle. L’engagement d’Emporio Armani envers la durabilité se manifeste à travers l’utilisation de matériaux éco-responsables, en accord avec le protocole ASV pour une mode responsable. Avec cette capsule SS 2024, Emporio Armani transporte le charme de la nature au cœur de la jungle urbaine, offrant des styles élégants tout en soulignant son dévouement à une mode durable et consciente de l’environnement. Cette collection est une invitation à célébrer la beauté de notre planète, à travers des créations qui respectent à la fois l’esthétique et l’éthique, marquant ainsi un pas audacieux vers un futur de mode plus vert. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2024Dans le vaste univers de la mode, peu de maisons de couture osent repousser les limites de l’innovation avec autant d’audace que Area. La Collection Printemps Été 2024 se présente non seulement comme une vitrine des tendances émergentes mais aussi comme une révolution dans la perception même de la mode. Au cœur de cette collection réside une exploration singulière de l’interaction entre voir et être vu. Area, dans un geste audacieux, instaure une synergie dynamique entre les pièces essentielles de la garde-robe et l’extraordinaire. S’inspirant d’influences artistiques variées, allant des yeux de dessins animés des années 1920 aux réflexions surréalistes sur l’œil comme portail, en passant par les graphismes vibrants du pop art des années 60, les créations de cette collection franchissent les frontières traditionnelles de la mode. Les yeux, métamorphosés en taches de Dalmatien, en fleurs épanouies ou en délicats œillets de cristal, transforment chaque vêtement en un dialogue visuel entre le porteur et son public. Dans un clin d’œil à l’ère numérique, Area réexamine ses valeurs fondamentales de qualité artisanale, de développement textile et d’ornementation innovante. Le résultat ? Une interprétation moderne de l’habillement qui s’adresse non seulement à celui qui le porte mais reconnaît aussi le rôle crucial de l’observateur. Alors que les regards observent, critiquent et apprécient, la Collection Printemps Été 2024 reflète l’évolution de la dynamique de l’observation à l’ère numérique. En essence, les designs d’Area deviennent une toile pour l’interaction entre la création et les observateurs. Cette collection invite les passionnés de mode à participer à un voyage visuel où le vêtement n’est pas qu’un accessoire, mais un conduit pour des expériences partagées. Area explore l’évolution de la relation entre le créateur, le porteur, et l’observateur, proposant une immersion dans une symphonie visuelle d’innovation. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
novembre 1, 2023Un peu de fleurs et de couleurs dans ce monde de brute. C’est l’art qu’a décidé de mener l’artiste Hortyfleur, peignant son âme singulière sur des arts de table ou des tableaux qui teintent la vie de vos murs avec un vécu parsemé d’embûches mais transformés en une magie illustratrice largement infusée de bleu Klein. C’est de tout ça dont elle nous parle, et bien plus encore à découvrir dans « L’Art Interview » ci-dessous : 1 ) Qui es tu ? Hello je suis HortyFleur, j’ai grandi avec les vers de terre, je germe souvent au printemps et essaye de donner quelques fleurs artistiques pour égayer le paysage qui m’entoure.   2 ) Quel est ton parcours ? Par cours et par vaux. Une naissance, une babysitter dessinatrice, une mère art-thérapiste, un père collectionneur, une école d’art, une agence de publicité, une démission, un mariage à New-York, un divorce à Paris, une expo, deux expos, un parcours classique. 3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? L’art est une maison. Il y a un toit, des mois de travaux, un sol, un sous-sol, des murs à franchir, une porte à ne jamais fermer, des fenêtres à claquer, pas de télé et surtout un beau paillasson.  4 ) Quels sont tes inspirations ? J’expire ce qui me bloque, et inspire tout le reste. Henri Matisse, Paul Cézanne, Paul Gauguin, Yves Klein, Annette Messager, Sophie Calle, Louise Bourgeois, Christian Boltanski, César, Ben, Jan Voss, Thelonious Monk, André Breton, Jean Cocteau, Marcel Duchamp, Hervé Télémaque, Balthus… et tant d’autres, mes amis vivants et morts. Ma meilleure amie est l’appli France Culture, je l’appelle tous les jours.  5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu créés ? Playlist podcast L’art est la matière, les Pieds sur Terre, Concordance des temps, et puis le jazz of course. Sinon version moderne Jungle, Khruangbin ( Notamment Zionsville ), The Brian Jonestown Massacre, Portishead, Les Doors, c’est si vaste. Je vous l’ai dit mes portes sont grandes ouvertes. 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Pâtes au pesto, ça me fait des pots de peinture après. C’est parfait. Repas toujours express, jamais plus de 10 minutes.  7 ) Quels sont tes projets à venir ? Faire éclore HortyFleur comme il se doit. Beaubourg à 38 ans.  8 ) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? J’ai un morceau de bois dans l’auriculaire. Véridique. Souvent les gens pensent que c’est un tatouage.   9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ?  Yves Klein sans aucun doute.  10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Vivre, rire !  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Au cœur de l’effervescence artistique qui émane du plat pays, la maison de mode belge Delvaux et l’artiste plasticien Kasper Bosmans tissent une toile de mutualisme esthétique, où l’échange fructueux entre différentes sphères créatives engendre une collection 2024 où l’art, la culture et l’artisanat se fusionnent dans une harmonie inattendue. L’essence de cette collaboration inusitée puise dans l’oeuvre polymorphe de Bosmans, infusée d’une richesse historique, symbolique, et formelle. Lorsqu’en 2022, Jean-Marc Loubier, PDG de Delvaux, flâne dans les allées d’une exposition à la Fondation Wiels, c’est une révélation. La philosophie de Bosmans, notamment dans son approche de l’héraldique, trouve un écho vibrant avec celle de Delvaux, déclenchant un dialogue profond, une recherche qui aboutira à une proposition créative à la fois harmonieuse et surprenante. La collection issue de ce dialogue d’essence traverse les époques, explorant avec audace des thèmes historiques puissants, et mettant en lumière des synergies inattendues entre le jeune artiste et la maison de maroquinerie de luxe la plus ancienne au monde. On découvre onze interprétations de pièces emblématiques de Delvaux, un mariage habile entre savoir-faire contemporain et techniques traditionnelles, contant des récits d’héroïsme, d’intégrité, et d’identité en perpétuelle mutation. L’expérience de la collection se veut à la fois conceptuelle, concrète et tactile, invitant le spectateur à s’immerger, déambuler, réfléchir, et partager ses découvertes. Au-delà du design vestimentaire et des accessoires, cette union créative s’épanouit grâce aux partenariats avec des artisans d’exception. L’atelier de Robert Dufour, maître tapissier aux cinq siècles d’histoire à Aubusson, apporte une authentique excellence à la collection. Des marqueteries de cuir extraordinaires et une collaboration avec la dernière Emaillerie Belge existante offrent une dimension unique à chaque pièce. Cependant, la pièce maîtresse demeure sans doute Kasper Bosmans lui-même, dont la présence plusieurs semaines durant, peignant ses fresques au sein des ateliers Delvaux de Bruxelles, insuffle une force incommensurable à cette collaboration où le dialogue et la créativité commune sculptent des identités puissantes. La collection Delvaux x Kasper Bosmans 2024 incarne la quintessence du mutualisme, fusionnant deux univers a priori distincts en une harmonie créative singulière. Bien plus qu’une collection de mode, il s’agit d’une œuvre d’art totale qui efface les frontières entre objet et art, entre passé et présent, célébrant le pouvoir de la collaboration et la nature constamment évolutive de l’identité à travers l’art et l’artisanat. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Alors que résonnent les cloches du retour en classe, une association inattendue entre la rappeuse américaine Megan Thee Stallion et la célèbre marque de snacks épicés Flamin’ Hot crée la surprise, présentant une université pour le moins originale. Bienvenue à F.U., alias Flamin’ Hot University, où l’éducation promet de brûler de mille feux. Dans une vidéo en ligne récente, Megan Thee Stallion, s’érige en « Thee Hot Girl Dean of Admissions », un poste fictif où elle proclame fièrement le motto : « L’éducation, c’est hot ». À F.U., les étudiants sont invités à « Libérer leur Flamin’ Hot » à travers des cours courts et « snackables » centrés autour de la nourriture, de la mode et du lifestyle, dispensés par Megan elle-même et son équipe professorale, comprenant parmi eux Chef Scotty, un ancien élève de la Texas Southern University (TSU). La naissance de ce campus virtuel ne pouvait s’épanouir sans une panoplie de produits dérivés reflétant la fierté étudiante. Ainsi, une ligne exclusive de merchandising F.U., conçue par la reine du streetwear Melody Ehsani, voit le jour. Parmi les articles proposés, un blouson de varsity estampillé Stallion, un pull « Hot Girl Club » et d’autres pièces tout aussi ardentes. Cette initiative pimentée et ludique de Megan Thee Stallion et Flamin’ Hot fusionne audacieusement l’univers du rap, de la mode et des en-cas épicés, offrant un retour en classe relevé et décalé. On y décèle un marketing savamment orchestré où l’éducation devient soudainement l’arène d’une expérience de marque bouillonnante et d’un engagement communautaire à la saveur inédite. https://www.youtube.com/watch?v=G-9i66Wg2Nk J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Le monde du sport et de la pop culture s’est étrangement entremêlé le weekend dernier, non pas sous l’effet d’un coup d’éclat sportif, mais suite à l’apparition d’une star de la musique dans une loge familiale au stade des Kansas City Chiefs. Travis Kelce, talentueux joueur de l’équipe, et l’icône pop mondiale, Taylor Swift, ont suscité un véritable tumulte médiatique, engendrant une augmentation exponentielle de 400% des ventes de maillots du joueur, 3 millions de recherches Google liées aux Chiefs et un afflux de 284 000 abonnés pour Kelce sur Instagram. Le cœur de cette agitation n’est autre qu’une relation amoureuse présumée entre Swift et Kelce, et plus encore, une photographie désormais emblématique circulant sur Internet où Taylor Swift savoure un morceau de poulet avec du ketchup et « semblablement » de la sauce ranch. Une description qui, contre toute attente, a fait basculer l’intérêt du public et inspiré une initiative marketing inattendue. Heinz, saisissant cette opportunité, a décidé de s’immiscer astucieusement dans la narration en lançant sa propre version de la sauce « Ketchup & Seemingly Ranch ». Produite en quantité limitée, seuls 100 bouteilles seront disponibles, propulsant les fans de #Traylor dans une bataille acharnée, à la manière des « Hunger Games », pour mettre la main sur ce produit aussi rare qu’exclusif. Pour tous ceux qui souhaitent tenter leur chance et entrer dans la course pour ce condiment devenu mythique, Heinz invite à suivre leur compte Instagram pour des instructions détaillées. Pour les autres, la recette maison demeure une option, conjuguant simplicité et créativité, à l’image de ce duo de célébrités qui a su, bien malgré eux, ajouter une saveur inédite au monde du spectacle et du sport. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Alors que les rues s’apprêtent à être envahies par des vampires, sorcières et autres créatures de la nuit en quête de douceurs, deux géants du marché surprennent le monde avec une alliance aussi insolite que savoureuse. Hershey’s, maître chocolatier, et Crocs, la marque iconique de chaussures, dévoilent une collaboration inédite et particulièrement attendue en cette période d’Halloween, mêlant astucieusement l’univers sucré de l’une et le confort caractéristique de l’autre. La collection de chaussures, aux allures résolument confiserie, se décline en deux designs inspirés des emblématiques barres chocolatées Hershey’s et Reese’s, et s’est invité dans les rayons depuis le 29 septembre, chez Foot Locker, Kids Foot Locker, Champs Sports, et mondialement sur le site de Crocs. Proposés dans des tailles unisexes, adultes et enfants, les modèles revêtent d’un côté un chocolat profond, évoquant la célèbre barre Hershey’s, et de l’autre un orange vibrant, clin d’œil au Reese’s, emblème sucré des récoltes d’Halloween. Chaque paire est sublimée par des charms Jibbitz exclusifs à l’effigie de Hershey’s Kisses, Hershey’s Chocolate Bar et Reese’s Peanut Butter Cup. En somme, cette édition limitée, offerte entre 55 et 65 dollars, ne propose pas simplement une paire de chaussures, mais une expérience alliant nostalgie chocolatée et une marche assurément confortable. Les promeneurs nocturnes du 31 octobre pourront ainsi, à chaque pas, réveiller l’enfant en eux, le palais soudainement éveillé par le souvenir du chocolat Hershey’s, tout en flânant avec l’assurance d’un confort Crocs inégalé. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Dans une ère où la durabilité oriente les innovations, surgit une invention avec l’arôme riche et subtil du progrès. Atomo Coffee, une entreprise soutenue par Beyond Meat, imprègne le marché du café d’une révolution verte, brisant les conventions avec son café sans grains, concocté à partir d’ingrédients surcyclés et de superaliments. Émergeant de Seattle, reconnue comme la capitale américaine du café, cette innovation reflète un esprit d’audace face aux enjeux écologiques croissants du secteur. Avec un financement impressionnant de 51,6 millions de dollars de la part d’investisseurs enthousiastes, Atomo Coffee compose une symphonie moléculaire, où chaque note est soigneusement choisie pour répliquer le café dans son essence même. Le pari semble réussi, et pour un ticket de 50 millions de dollars, les attentes sont, à juste titre, célestes. « Le café cause une déforestation à un rythme assez alarmant », confie Andy Kleitsch, CEO et co-fondateur d’Atomo. En effet, le réchauffement climatique met à mal les terres arables, poussant les cultivateurs de café à déforester pour trouver des sols plus fertiles. D’ici 2050, près de la moitié des terres caféières actuelles pourraient être impropres à la culture. Le café sans grains d’Atomo s’affirme non seulement comme une prouesse technologique mais également comme une réponse éthique à un enjeu global. La première itération, un cold brew conceptuel, affiche une réduction des émissions de carbone de 93% et une consommation d’eau minimisée de 94% par rapport aux méthodes traditionnelles. La reconnaissance ne se fait pas attendre : la machine innovante de l’entreprise est citée parmi les 200 meilleures inventions de 2022 par Time Magazine. Disponible uniquement à New York et en vente en gros, ou à déguster chez Gumption Coffee à Midtown, Atomo Coffee propose une expérience qui, au-delà du simple plaisir gustatif, interpelle sur l’empreinte environnementale de notre consommation quotidienne. Une démarche qui, entre innovation et tradition, esquisse les contours du marché caféiné de demain. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023S’immergeant dans un univers où le velours rouge et le fromage à la crème s’unissent pour émerveiller nos papilles, le Red Velvet Philly Bagel Bomb émerge comme le nouveau péché mignon des amateurs de gourmandises subtiles. Fruit d’une collaboration alléchante entre Philadelphia cream cheese et Milk Bar, cette création est la première de son genre à mêler le bagel à une expérience sucrée, plongeant Milk Bar dans une aventure inexplorée jusqu’alors sur le territoire du bagel bomb sucré. La rencontre entre le goût légèrement acidulé du red velvet et l’onctuosité légendaire du Philadelphia cream cheese donne naissance à ce petit délice qui ne manquera pas d’envoûter vos sens. Pour les gourmands impatients de succomber à cette tentation, les options ne manquent pas. Les résidents ou visiteurs de New York, Los Angeles, et Washington DC pourront se procurer des paquets de deux mini bagel bombs pour 6,00 $ dans les boutiques Milk Bar, mais seulement pendant une période limitée. Pas d’inquiétude pour ceux éloignés de ces métropoles : le plaisir est accessible à tous grâce à la livraison disponible à l’échelle nationale. Un assortiment d’une douzaine de bagel bombs, accompagné d’une douzaine de truffes Red Velvet, vous sera acheminé pour la somme de 60,00 $. Une explosion de saveurs qui résonne comme un hommage à l’innovation pâtissière, fusionnant les univers du sucré et du salé avec une maîtrise gourmande. Une douceur en édition limitée à savourer avant que l’ultime miette ne disparaisse des étagères des boutiques et du catalogue en ligne. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Dans cette époque de conquête spatiale et d’intelligence artificielle, la science fait des pas de géant, allant parfois dans des directions inattendues mais néanmoins fascinantes. La preuve en est avec une équipe de chercheurs de l’Université d’État de l’Ohio, qui ont mis en lumière une solution potentielle au problème persistant de l’haleine chargée à l’ail, un aliment réputé autant pour ses vertus que pour son odeur persistante. Le 19 septembre, les chercheurs ont révélé une trouvaille qui pourrait faire sourire, mais qui demeure scientifiquement pertinente, dans une étude parue dans la revue scientifique Molecules. Selon leurs expérimentations, le yaourt nature entier empêcherait presque entièrement les composés volatils, responsables de l’odeur piquante de l’ail, de s’échapper dans l’air. En testant l’ail contre les « composants individuels » du yaourt – à savoir l’eau, la graisse, et les protéines, ils ont pu déterminer que la combinaison de ces éléments réduisait de 99% les « principaux composés volatils produisant l’odeur de l’ail cru ». Les chercheurs suggèrent qu’un yaourt riche en protéines, comme le yaourt grec, est probablement votre meilleur allié en la circonstance. Sheryl Barringer, professeure en science et technologie alimentaires et chercheuse principale sur le papier, a exprimé sur le site de l’OSU que cette découverte pourrait trouver des applications au-delà de la simple cuisine. Alors qu’une alimentation riche en protéines est à la mode, les futurs produits pourraient peut-être se vanter d’offrir un double bénéfice : nutritionnel et déodorant. La recherche n’en est qu’à ses débuts et les études futures chercheront probablement à analyser différentes protéines et comment elles peuvent être formulées pour combattre la mauvaise haleine. Pour l’heure, ce conseil simple, basé sur des données probantes, pourrait bien changer vos prochains repas à l’ail. Peut-être qu’une salade accompagnée de pommes et d’une vinaigrette yaourt-menthe avec de l’ail frit s’annonce dans votre avenir culinaire, conjuguant saveur et fraîcheur à la perfection. PHOTO: TANJA IVANOVA / GETTY IMAGES J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Dans le théâtre élégant de la haute couture, les icônes ne se fanent jamais; elles évoluent, étreignant l’intemporalité avec une grâce renouvelée. Le sac Lady Dior, représentation fidèle de l’élégance et de l’innovation de Christian Dior, continue de conquérir le temps, tout en préservant son essence originelle. Mais récemment, la célèbre pièce a tissé un nouveau chapitre dans son histoire riche et illustre, grâce au Dior Lady Art Project. Inspiré par la volonté indéfectible de perpétuer l’héritage du style Dior tout en célébrant l’audace contemporaine, le projet Dior Lady Art invite des artistes renommés à métamorphoser l’emblématique sac Lady Dior en œuvre d’art. L’édition huit, un chiffre chanceux pour Christian Dior, a vu des artistes tels que Mircea Cantor, Jeffrey Gibson, et Gilbert & George réinterpréter le sac dans des expressions inédites, transcendant les frontières et les cultures, de l’Angleterre à la Chine, et du Japon aux États-Unis. Chaque re-création du Lady Dior témoigne d’une fusion subtile entre inventivité et poésie, où chaque détail, chaque embellissement, se fait écho du rêve et de la réalité à travers le prisme de l’imagination et un savoir-faire exceptionnel. La démarche, loin d’être simplement collaborative, se veut une rencontre entre Dior et les diverses cultures du monde, un appel vibrant à la technique virtuose et à l’artisanat, tous imprégnés d’un esprit d’innovation. Le Lady Dior Art Project incarne ainsi plus qu’une alliance entre la tradition et l’innovation, il s’érige en tant que célébration de l’art, de l’artisanat et du legs immortel de Christian Dior. Il assure que le sac Lady Dior, dans sa beauté et son imagination, demeure une œuvre d’art bien-aimée et en constante évolution pour les générations à venir, scellant ainsi une union harmonieuse entre l’hier, l’aujourd’hui et le demain dans les fibres de chaque création. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Lorsque les vibrations rebelles de la marque de streetwear de Los Angeles, PLEASURES, rencontrent l’iconique PUMA, le panorama de la collaboration mode est revitalisé par une esthétique rétro-futuriste. Cet été, la seconde union de ce duo dynamique nous emmène dans un périple au cœur du désert, fusionnant les éléments sportifs et techniques dans une collection prête pour les raves nocturnes. L’ingéniosité derrière PLEASURES et PUMA conjugue habillement le sportswear avec des éléments techniques dans une collection éclectique et rétro. Elle projette une réverbération de la diversité culturelle de Los Angeles tout en incarnant les scènes festives allemandes à travers des slogans honorifiques. L’aventure stylistique débute avec des hoodies essentiels co-marqués, portant l’inscription “German Sportartikelhersteller” – se traduisant par “Fabricant d’articles de sport” en allemand. Des t-shirts airbrushés et des vêtements d’extérieur camouflage côtoient des graphiques de style universitaire, alors que des hauts inspirés du sport et des robes enveloppées de flammes s’accordent aux nouvelles palettes de couleurs VELOPHASIS. La sneaker Y2K, avec sa signature esthétique du tournant du millénaire, est plongée dans des palettes de gris/blanc et orange/rose, exhibant des contours brillants, des logos doubles et des unités de semelle axées sur la performance. Dans un désert où le sable fusionne avec la technologie et le sportswear, PLEASURES et PUMA révèlent une collection qui n’est pas seulement un vêtement, mais une célébration du contraste culturel et de la nostalgie moderne. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023La nouvelle campagne Automne/Hiver 2023 de KENZO, intitulée “East Meets West”, dévoile une révélation stylistique, mettant en lumière l’harmonie possible entre des mondes apparemment divergents. Élaborée autour de la puissance évocatrice de la collaboration globale, cette campagne expose le chanteur basé à Singapour, Glenn Yong, dont l’art musical fusionne avec aisance les éléments esthétiques asiatiques et occidentaux. L’intégration d’une vidéo animée numériquement au sein d’environnements réels dans le lookbook rend hommage aux médiums transcendants qui encouragent la connectivité globale et une expression de soi authentique. Miroitant l’identité et l’éthos design de la maison, l’exploration visuelle de l’histoire explore comment la diversité, l’exposition et la fusion culturelle introduisent un art transformateur, façonnant et connectant le monde dans sa largeur. Glenn Yong, faisant des vagues pour son style musical unique et ses visuels frappants dans ses singles “UP UP” et “BREAK OUT”, est mis à l’avant, célébrant les limites de l’exploration créative alors que les deux artistes tissent entre les inspirations culturelles. Cette même fluidité culturelle, utilisant la musique, le cinéma et l’art pour susciter l’originalité, a permis de fusionner les domaines du streetwear japonais avec la couture européenne luxueuse de KENZO. Dans le lookbook, le nouveau “KENZO-PACE” est mis en avant pour son design fusion ; sa forme aérodynamique fait référence aux éléments d’une chaussure de course classique tandis que les striations élégantes, le tuyauterie tonale et l’outillage sculpté de la semelle intermédiaire alludent à une silhouette futuriste et de style de vie. Une exploration raffinée où la mode devient le reflet d’une union culturelle innovante et inattendue. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023En cette période de transition automnale, et avec le gorpcore trônant au sommet des tendances actuelles, la collaboration MM6 Maison Margiela x Salomon se présente comme une réponse stylistique et innovante. La deuxième phase des sorties poursuit l’élan, perpétuant un ethos de conception fonctionnel et avant-gardiste avec le lancement de nouveaux produits hautement anticipés. S’épanouissant dans une sélection de baskets Cross Mid, popularisées par la tenue de Rihanna lors du Super Bowl, cette deuxième vague voit également le dévoilement du sac à dos XT 15, proposé en trois coloris distincts. Le sac à dos Salomon XT 15 est réinterprété conformément aux principes de design modernes de MM6 Maison Margiela, caractérisé par des poches discrètes à l’avant et une ceinture stabilisatrice, tout en offrant une respirabilité accrue grâce à sa construction en mesh et de multiples options de rangement. Versatile, il se décline en noir, chocolat amer et bleu ardoise, arborant un logo co-brandé sur l’extérieur du dos. Quant aux baskets Cross Mid, leur conception technique est taillée pour la performance. Associant une chaussure intérieure à enfiler et une semelle en caoutchouc épaisse et adhérente, le reste de la silhouette est fusionné avec une guêtre imperméable à cordon pour produire la forme mi-haute non conventionnelle de la chaussure. L’allure audacieuse est proposée en deux palettes de couleurs : bleu ardoise, graphite et rose, ainsi que chocolat amer, bleu glace et gris pierre de lune. Cette collaboration incarne une synergie entre l’esthétique épurée et contemporaine de MM6 Maison Margiela et l’expertise fonctionnelle de Salomon, offrant aux adeptes de mode et aux aventuriers urbains des pièces qui ne font aucun compromis entre style, qualité et fonctionnalité. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Dans une collaboration aussi audacieuse qu’improbable, Drôle de Monsieur, la marque française emblématique, confie à Mike Tyson, légende du ring, le rôle d’égérie de sa dernière campagne. Les fondateurs, Maxime et Dany, identifient dans « Iron Mike » l’esprit intrépide et les valeurs de leur devise, « Not From Paris Madame ». Raisonner avec son histoire, ce fils des quartiers les plus sombres de New York, né à Brownsville, n’était ni d’ici ni de là lorsqu’il s’agissait d’être de New York. Il n’est pas non plus de Paris, mais il a tracé son propre chemin, façonnant sa voie dans le monde de la boxe et au-delà. La griffe originaire de Dijon a recherché Tyson pour son style singulier, apportant une attitude avisée et streetwise à la scène. Cherchant à capter l’élégance urbaine des années 90 de l’athlète, Drôle de Monsieur perçoit Tyson comme un précurseur et un personnage unique en son genre. Avec cette nouvelle campagne, la marque vise à rendre hommage à la carrière du boxeur légendaire et à sa stature de figure culturelle emblématique dans le monde du sport et au-delà. Ainsi, la détermination, la passion et la volonté de Tyson parlent aux fondateurs de Drôle de Monsieur, qui mettent souvent en avant l’ambition, le talent et l’amour du métier. Un regard sur Mike Tyson pour Drôle de Monsieur révèle une synergie qui marie le brut avec le raffiné, le puissant avec le stylé, faisant écho à une résonance universelle de lutte, de triomphe et d’élégance intrinsèque. Cette campagne inédite insuffle une nouvelle vie à l’image du boxeur tout en enrichissant la narratif esthétique de la marque. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023Au cœur de la scène musicale urbaine internationale, Bad Bunny, l’étoile montante portoricaine, continue de surprendre et de séduire avec la sortie de son cinquième opus studio, « Nadie Sabe Lo Que Va a Pasar Mañana » (Personne ne sait ce qui se passera demain). Succédant à « Un Verano Sin Ti », le nouvel album plonge dans un éventail éclectique de sonorités, explorant l’électronique, le dembow, le Jersey club et plus encore, affirmant sa polyvalence artistique. L’esthétique cowboy, thème majeur et fil conducteur de l’album, se manifeste depuis le clip « Un Preview » jusqu’à la pochette de l’album. Ce motif s’étend à sa collection de marchandises, où divers t-shirts, rapidement épuisés dans de nombreuses tailles au moment de la rédaction, affichent fièrement des graphiques de Benito, vêtu de denim, à califourchon sur son cheval. Enrichissant davantage le merchandising, une avant-première des sneakers adidas Response CL “Paso Fino” s’intègre à la collection. Dévoilée plus tôt cette année lors du WWE Raw, la basket aux tons terre a initialement été lancée en exclusivité dans des boutiques équestres et western à Puerto Rico, Espagne, Mexique et aux États-Unis. Le lancement officiel auprès d’adidas est prévu pour le 28 octobre. Ensemble, l’album et le merchandise matérialisent un talent exceptionnel qui marie avec brio la musique et la mode, construisant un univers où l’éclectisme sonore rencontre un esthétisme visuel affirmé. Bad Bunny ne cesse d’étonner, prouvant que, tout comme les anticipations autour de demain, il demeure imprévisible et fascinant. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
octobre 14, 2023La Maison Louis Vuitton est prête à conquérir les pistes pour la saison hivernale 2023, avec le lancement de sa toute nouvelle collection de ski. L’assortiment, qui comprend une myriade de pièces performantes et de silhouettes pour l’après-ski, utilise des matériaux techniques innovants à travers le prêt-à-porter, la maroquinerie, les chaussures et les accessoires pour hommes et femmes. Côté hommes, LV présente une parka de ski robuste mais raffinée, confectionnée avec une surpiqûre de rupture noire, ainsi que des pantalons assortis en cuir de veau. Un motif central, jouant sur des images aériennes de paysages glacés, s’impose sur les combinaisons de ski, les vestes polaires et les pulls en coton. Les vestes et gilets, quant à eux, arborent des graphiques inspirés des pistes, et un cardigan en mohair alpin adopte une illustration montagneuse. Pour les femmes, la Maison propose un éventail de vestes rembourrées et de parkas polies, ainsi que des pantalons de ski, des pantalons techniques et des leggings profilés pour la fonctionnalité en montagne. Dans les accessoires, des écharpes apparaissent avec des médaillons LV, tandis que des gants, chapeaux et casquettes signatures offrent des versions hivernales des formes classiques LV. Les sacs de la collection complètent la garde-robe de ski, avec plusieurs finitions douces. Parmi les pièces marquantes, le sac à épaule arbore une toile Monogram enduite et hydrofuge en blanc optique avec des garnitures noires, tandis que le classique Keepall reçoit un traitement hivernal avec une construction technologique. Les chaussures, elles aussi, sont prêtes à affronter le terrain enneigé. La LV Alpine Boot, réalisée en nylon structuré et rembourré noir, propose une version exagérée de la semelle LV Trainer, tandis que la LV Trainer Snow Boot s’inspire des articles de snowboard. Pour l’après-ski, Louis Vuitton a conçu plusieurs chaussures en fausse fourrure, dont le LV Driver Monogram et le LV Easy. Pour couronner le tout, Louis Vuitton a produit son propre snowboard, arborant un motif gris glacier, ainsi qu’une série de skis Monogram, disponibles en trois tailles. Cette collection de Louis Vuitton, mêlant audacieusement élégance et fonctionnalité, s’annonce comme une promesse de style et de performance pour les amoureux des pistes et de la mode hivernale. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
août 20, 2023À seulement 19 ans, Antonina Maj est une artiste qui pousse sa créativité à une réflexion conceptuelle mature et authentique. D’origine polonaise, elle s’inspire de son pays natal et de son architecture brutale et géométrique pour nous dévoiler un art contemporain autour du champ sémantique de l’espace vide, clos et silencieux. Nul doute, Antonina Maj va vous faire gamberger en découvrant son parcours et sa réflexion singulière à découvrir, juste là, ci-dessous : 1 ) Qui es tu ? Je m’appelle Antonina Maj, j’ai 19 ans. Je suis créatrice de mon propre univers onirique où j’invite le spectateur à plonger dedans, à se soumettre à ce qui l’y attend et à s’y perdre pour oublier le monde extérieur. Cet univers est inspiré partiellement de mon pays natal, la Pologne et de son architecture brutale et géométrique 2 ) Quel est ton parcours ? À l’âge de 17 ans, après avoir écrit mon Bac en Pologne, j’ai décidé de réaliser mes rêves et de venir pour faire mes études à Paris. J’ai postulé aux Beaux-Arts de Paris, malheureusement la première tentative n’a pas abouti, alors je me suis retrouvée à La Sorbonne Nouvelle Paris 3 en Études théâtrales. Après un an de Licence, j’ai décidé de ne pas abandonner mes rêves et de réessayer les Beaux-Arts, où j’ai été prise pour la classe préparatoire. J’y ai passé une année exceptionnelle après laquelle finalement mes rêves sont devenus réalité. J’ai été acceptée en première année aux Beaux-Arts de Paris, où je fais mes études en ce moment. 3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? Je construis une production autour du champ sémantique de l’espace vide, clos, silencieux. Ces espaces sont ponctués par des motifs qui évoquent le passage, comme les escaliers, les portes ou les fenêtres. Je cherche à déplacer, voire à perdre le regard du spectateur dans un imaginaire angoissant, surprenant et dérangeant. Ces effets sont produits par des jeux de présence/absence, par la réflexion sur les propriétés des couleurs, par la déstructuration/ restructuration d’échelle et la mise en abîme d’espaces. Grâce aux aplats, je souhaite emmener le spectateur dans des espaces ”propres”, intimes. ”La propreté de l’univers domestique est la qualité d’un monde protégé de la violence extérieure. C’est le lustre de l’intime”, comme l’a dit Jeff Wall. 4 ) Quels sont tes inspirations ? Inspirée par Tadeusz Kantor, je poursuis des recherches sur la mémoire et le passé. Je m’intéresse également à son approche du corps, qui est un corps vide, corps en tant que marionnette. Je travaille avec des matériaux linéaires et minimalistes comme le fil et le scotch pour créer la tension par le vide, définir l’espace par ce vide, comme Fred Sandback. J’explore la question de la présence par absence à travers les œuvres de Tatiana Trouvé. Je m’inspire des photographies de Gregory Crewdson. Je m’inspire également des artistes comme Louise Bourgeois, Jeff Wall et je visite des expositions pour trouver de nouvelles références. Mes deux parents sont des comédiens et j’ai passé beaucoup de mon enfance au théâtre en train de regarder les répétitions et les spectacles. Ce temps m’a beaucoup influencée inconsciemment, parce que maintenant je crée des espaces clos, comme des scènes théâtrales vues de la position de spectateur. Des espaces hors temps qui nous permettent d’oublier le monde extérieur, où tout flotte et tout s’étire. 5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu créés ? J’écoute beaucoup d’artistes des années 60, 70 et 80, comme The Doors, Simple Minds, Maanam, The Clash, Patti Smith, mais également des groupes contemporains comme Mystic Braves, La femme etc. 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Pâtes à la courgette. 7 ) Quels sont tes projets à venir ? J’aimerais bien continuer à me développer, profiter au maximum de la chance que j’ai eu de pouvoir être à l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris et de continuer à faire des expositions. 8 ) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? Un jour quand j’étais petite, j’ai fait un dessin de ma maison. J’ai dessiné ma mère, mon père, mon chien, la table, etc. J’ai tout bien détaillé et à la fin, j’ai tout effacé. Ma mère m’a demandé pourquoi je détruisais mon dessin et j’ai répondu que je faisais le mur de la maison, parce que bien évidemment il y en a, donc je ne peux pas l’ oublier. C’était un geste performatif inconscient. 9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? Ce serait le Chapelier Fou d’Alice au Pays des merveilles, je passerais avec lui deux jours complètement fous et poétiques dans un monde surréaliste, rempli des couleurs où rien n’est impossible. 10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Il ne faut jamais perdre de l’espoir et pour réussir à atteindre nos rêves, il faut travailler en s’amusant et en prenant plaisir à ce qu’on fait et à notre développement. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
juillet 23, 2023Wawapod a baigné dans un univers d’artistes depuis l’enfance, un milieu qui ne l’a finalement pas lâché car il est est revenu après avoir été Préparateur en pharmacie, avant de se rendre compte que son destin était dans l’art et la peinture. Un parcours riche en références Art Pop contemporain qu’il nous livre dans l’Art Interview, ci-dessous : 1 ) Qui es tu ? Je m’appelle Warren Podguszer , mon blaze c’est Wawapod, j’ai 32 ans , je viens de Paris et je suis artiste peintre. J’ai un enfant formidable qui s’appelle Milo. 2 ) Quel est ton parcours ? Né à Paris, fils d’un artiste peintre et d’une styliste, j’ai commencé la peinture en 2018 et cette pratique a rapidement pris le dessus sur mes activités. Préparateur en pharmacie pendant 7 ans, poste que j’ai quitté fin 2020 pour me consacrer uniquement à la peinture; j’ai eu la chance, épaulé par des galeries, d’exposer à plusieurs reprises depuis mes débuts. Je suis autodidacte.  3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? L’univers de la pop culture et le pop art sont les fondements de ma réflexion, j’aime réinterpréter des oeuvres iconiques et les emmener ailleurs, y apporter de la modernité et un graphisme novateur. A travers mes accumulations de courbes ou de points, se dessinent des portraits avec des hommages à des artistes que j’admire. J’aime mixer les références entres elles, obtenir quelque chose de nouveau à partir d’éléments populaires. En réutilisant des icônes, ou en reprenant des œuvres, mon envie est de faire revivre à ma manière certains chefs d’oeuvres et d’inviter au voyage à travers l’histoire de l’art. Depuis 2 ans je suis assez présent dans la rue avec mes pochoirs de  » Bonjour Amour Toujours », et je colle également mes peintures sur les murs un peu partout dans Paris.  4 ) Quels sont tes inspirations ? En peinture : Je suis Influencé par le mouvement pop art et le street art.J’aime beaucoup Haring, Banksy, Lichtenstein, Warhol, Speedy graphito mais aussi Magritte, De Vinci et Matisse. 5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu créés ? -Orelsan -Youssoupha -Bob Marley  Des podcasts : -celui de Kyan Khojandi ( un bon moment) -Tant qu’il y aura des hommes -Transfert -Urban art podcast 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Pâtes à la carbonara, Pot au feu 7 ) Quels sont tes projets à venir ? Je vais exposer avant la fin de l’année, Place du panthéon à Paris, car j’ai été sélectionné pour le prix du graffiti 2023. J’ai un soloshow en préparation dans une galerie d’art parisienne. Je vais également exposer mes œuvres au parc des expositions à portes de Versailles pour art3f septembre 2023.J’aimerai continuer à développer mon travail sur mur et façades en milieu urbain. 8 ) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? J’ai été sélectionné pour participer à la 3eme édition du Colors Festival en Décembre 2022, nous devions chacun réaliser une fresque sur un mur imposé dans un lieu de 4500m2. On m’as donné un mur de 6 mètre de long et 2metre80 de haut. Le truc c’est que je n’avais jamais réalisé de mur, jamais plus grand que 100x100cm. Et j’ai du apprendre et me lancer en quelques jours, je suis hyper content du résultat que vous pouvez découvrir sur mon Instagram en « post épinglé ». C’était donc mon premier mur dans un festival de street art, aux côtés de très grosses pointures du graffiti. 9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? Ce serait peut être Keith Haring ou Banksy , voir un peu comment ils bossent dans la rue, quel était leur quotidien. Discuter du fait d’être artiste avec eux. 10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Allez au bout de vos idées, notez tout, n’ayez pas peur d’essayer, partagez au maximum votre passion et n’écoutez pas ceux qui disent que c’est impossible ! Parce que… Contrairement à ce qu’ils pensent, énormément de choses sont possibles si vous bossez pour les obtenir.  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
juillet 7, 2023Collagiste de choc, l’art de S.Van Roulet est plein de poésie visuelle qu’elle puise dans ses origines Zaïroise et Japonaise. Celle qui redessine des mondes nouveaux ou dépeint le monde actuel en images collées, mais pas que, nous a accordé quelques minutes pour un passage dans notre « Art Interview », histoire d’en apprendre plus sur sa personnalité singulière et son parcours riche en aventures. 1 ) Qui es tu ? Je m’appelle S.Van Roulet,je suis Belge avec des origines Zaïroise et Japonaise. Je suis artiste collagiste, poète visuelle, je coupe, colle, j’assemble des histoires. 2) Quel est ton parcours ? J’ai grandi à la campagne dans le sud de la Belgique.Je suis autodidacte! De 2001 à 2007 j’ai vécu à Paris et durant cette période j’ai fait des aller-retours entre Paris et NYC pendant plus ou moins deux ans. Mon parcours artistique à commencé à NYC en 2003 avec le collectif de VJ « FeedBuck Galore » avec qui j’ai appris à filmer,monter,des vidéos et surtout faire du live vidéo. J’ai éte VJ dans des boîtes de nuit,bars new-yorkais,pour le Water Festival aux Nations Unis,pour les 20 ans du musée d’Andy Warho à Pittsburgh etc…Après cette expérience américaine,j ‘ai représenté les FeedBuck Galore à Paris.J’ai collaboré avec Erik Rug au Nouveau Casino pour les soirées Wax Groove J’ai organisé des sessions de VJ « Share the Playground »à la Gare Experimentale, j’ai mixé à La Boule Noire, au Lavoir Moderne et d’autres lieux et j’ai fait des lancement de produits pour Max Mara,Lee Cooper,… Fin 2007,je suis venue m’installer à Bruxelles par amour.J’ai quitté le monde de la nuit et de la vidéo,mais ma créativité c’est transformé en travaillant le papier. Après avoir vu une exposition au musée d’Orsay « Au delà des étoiles » je suis rentrée chez moi avec une énorme envie de faire des collages beaucoup plus élaborés(je faisais déjà du collage mais un peu minimaliste ou experimental).Depuis 2017,je suis collagiste et les choses se sont enchainées,j’expose en permanence au Café Novo à Bruxelles(c’est une collaboration),j’ai exposé dans une académie de musique(Mifa) et tout récemment j’ai exposé au 389LaBoutique. smart 3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? Je fait de la poésie visuelle,je crée un monde,je fixe des rêves.Je récrée une histoire en regroupant des images que j’enlève de leur décorum. 4 ) Quelles sont tes inspirations ? Mes fantômes,mes peurs,mon inconscient,la vie,tout ce qui m’entoure,tout ce que j’entends. Artistiquement: Frits van den Berghe,Constant Permeke,Félicien Rop,James Ensor, Chester Himes,Zola,Philippe Soupault… 5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu crées ? Je suis capable d’écouter le même disque en boucle ou le même morceau lors de mes créations. J’aime beaucoup Lana del Rey,c’est une incroyable poète. J’écoute Nina Simone,Mazzy Star, en fait j’adore la mélancolie en musique ça m’inspire en tout cas mon inconscient est très réceptif! 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? C’est difficile à répondre, j’aime tellement cuisiner. Préparer un plat c’est comme une composition artistique, j’ouvre le frigo et je m’inspire de ce qu’il y a à l’intérieur! 7 ) Quels sont tes projets à venir ? Continuer tranquillement à créer des mondes surréalistes,poétiques,absurdes. Et puis je vais être publiée chez SnapCollective; c’est un travail qui est en cours. smart 8 )Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? A l’adolescence, avec une copine nous avions reçu une centaine d’autocollants pour le Télévie l’équivalent en France c’est le Téléthon. Il y avait une projection d’un film dans la salle culturelle. Lors de cette projection, j’ai collé sur chaque siège un autocollant, je pense que ma passion du collage a commencé à cette période. En tout cas je ne crois pas que la  personne responsable de la salle a été ravi de voir ce vandalisme d’adolescents.           9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? Jérome Bosch,je voudrais savoir pourquoi il a mis une flûte dans le derrière d’un de ces personnages et surtout comprendre sa folie,sa créativité. 10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Garder l’envie de faire, être qui l’on veut, ne pas se soucier des autres, écouter son instinct et faire travailler son inconscient. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 15, 2023Nous allons vous mettre l’eau à la bouche, de la même manière que les images que vous allez découvrir nous sont fait saliver derrière notre écran. Des coups de Food, on en a tous les jours en scrollant nos réseaux et on oublie souvent où on avait trouvé cette idée de recette sympa qu’on s’était juré d’enregistré dans le bon dossier mais que l’on a jamais plus regardé. Plus besoin de chercher, nous vous proposons de découvrir les chefs, blogueurs et restaurants à suivre pour continuer à rêver sur des plats qui cette fois-ci finiront dans votre palais 👉🏽 Uni Linguini by The Social Food @thesocialfood 👉🏽 Arachide by Coralie Kory (@coraliekory) 👉🏽Tataki de magret de canard, riz à sushis snacké, jaune d’œuf parfait, cebettes et gel à la sauce soja by Café du Rhône (@cafe_du_rhone) 👉🏽Création à base de chocolat, de cèpes et d’herbes sauvage by Chef Jeremy Galvan (@chef.jeremy.galvan) 👉🏽Meringue à la violette miel tiré, Glace au miel et pollen by Chef Élis Bond (@chef_bond) 👉🏽 Pâtes ultra réconfortantes champignons & saucisses façon pasta alla norcina by Whoogy ’s (@whoogys) 👉🏽 Veau x Condiments Marrons x Red Meat by Morfal Restaurant (@morfal_restaurant) 👉🏽 Panisse, légumes fondants et sauce aïoli au safran by Food Traboule (@Foodtraboule) 👉🏽Le poulpe accompagné d’une sauce de mojo verd, duxelle de poireaux, gateau de maïs et micro-pousses de coriandre by Canaima (@canaimalyon) 👉🏽Afro-burgers by Bomaye (@bomayeclub) #food #foodlover #cuisine  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 15, 2023“Chez Diesel, nous aimons jouer, et nous le faisons sérieusement. S’amuser, se respecter mutuellement, être en sécurité. Pour une vie Sucsexful !”. Coup de théâtre pour la marque Diesel. Lors de son dernier défilé, le créateur belge aux manettes de la création, Glenn Martens, a marqué le coup avec sa campagne de prévention en collaboration avec Durex avec le « Sucsexful Living », on vous explique tout. La prise de position militante du directeur créatif de Diesel contre le Sida ne date pas d’aujourd’hui. Après plusieurs mises en scènes lors de ses défilés, comme notamment en février dernier en faisant défiler ses mannequins au milieu d’une montagne de 200 000 boites de préservatifs.  Ce mois-ci, la marque se lance dans une campagne de distribution colossale de 300 000 condoms de la marque Durex, qu’elle distribuera dans ses boutiques du monde entier.  “Nous devons rappeler à tout le monde que les rapports sexuels protégés sont toujours importants, nous ne pouvons pas l’oublier” dit créateur belge. Plus qu’une bonne idée pour l’humanité, la mode n’a jamais autant sauvé le monde ! J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 31, 2023Voilà une nouvelle qui va rhabiller nos pieds pour le printemps avec la collaboration Casablanca X New Balance 327, soit deux paires de sneakers qui vont affoler la « modosphère ». Des couleurs qui nous rappellent la chaleur des motifs de la marque Casablancais, un voyage aux saveurs exotiques qui se fondent avec la nouvelle forme iconique des New Balance 327. Seul hic, normalement annoncées pour le 4 avril, le drop se fera le 18 avril compte tenu du climat actuel. Alors on valide ou pas ? J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 27, 2023Rencontre avec un artiste qui allie musique et arts graphiques, mais également la mode, pour exprimer sa créativité inspirée de l’art moderne et de bon son Hip-Hop infusé de Jazz. Avec son coup de crayon , MC Blue Matter a.k.a. Gabriel Amzallag se livre avec humanité dans notre Art Interview en 10 questions. 1 ) Qui es tu ? Je m’appelle MC Blue Matter a.k.a. Gabriel Amzallag. J’ai 24 ans et je viens de Lille. Je suis artiste et je fais de l’animation ainsi que du graphic design. J’aime créé que ça soit des vêtements, des clips animés ou des pochettes de vinyles. 2) Quel est ton parcours ? Quand j’étais petit ma mère qui est artiste m’emmenait énormément au musée. Je voyais avec mes yeux d’enfants les collages de Matisse, les fresques de Chagall et les peintures de Fernand Léger. J’ai toujours adoré dessiner. Quand j’étais petit je faisais ma bande dessinée qui s’appelait « Naz Man » sur un super héros qui était aussi génial que nul. À 14 ans, tout ce que je faisais c’était lire des comics américains en écoutant du rap US (A Tribe Called Quest, DOOM, Mos def…). Puis j’ai découvert Jean Michel Basquiat lors d’une de ses exposition et ça a été un choc. J’ai été emporté par la force et la « pureté » de son art. Je retrouvais tout ce que j’aimais : des références aux arts premiers, au Hip-Hop, au jazz, aux X-Men et à l’art moderne. Je suis entré dans une librairie parisienne (Mona lisait) et j’ai acheté un livre de photos sur les rappeurs, par Mike Schreiber. Je me suis mis à dessiner chaque figure représentée dans le livre. À 18 ans, j’ai commencé ma carrière d’artiste en travaillant pour des maisons de disques de Hip-Hop (Jakarta Records, Melting Pot, Inner Ocean) d’abord depuis ma chambre puis après en allant vivre à Berlin puis à Paris. J’ai eu la chance de travailler avec beaucoup d’artistes que j’adore comme Flofilz, Illa J, Guilty Simpson, Asher Roth, Ben Beal ou Blu & Exile. Par la suite, j’ai collaboré avec plusieurs marques comme Sneakersnstuff ou Apple Music. L’été dernier j’ai fait ma première exposition en solo à la galerie Nast à Paris dans le 1er arrondissement. 3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? Dans ce que je fais, l’humain est toujours au centre. Le contexte peut varier mais le sujet humain est toujours ce qui est le plus important. J’essaie d’avoir un regard tendre et bienveillant sur ceux que je dessine. Et tout comme moi, mes personnages ne se prennent jamais au sérieux. J’aime dessiner des personnes « hautes en couleurs » tout comme j’aime représenter l’intimité d’un couple. Le centre c’est toujours l’émotion. Le but c’est d’inspirer la création à celle ou celui qui voit ce que je créé. 4 ) Quelles sont tes inspirations ? Je pense que je l’ai un peu expliqué dans mon parcours mais beaucoup de choses m’inspirent en tant qu’artiste. L’art moderne avec des artistes comme : Modigliani, Chagall, Sonia Delaunay, Gauguin, David Hockney, Basquiat ou Keith Haring. Évidement j’ai été beaucoup été inspiré par Jack Kirby le créateur des dessins des X-Men ou des 4 Fantastiques mais aussi par les dessins animés à la sauce cartoon network. Après je m’inspire de tout : que ça soit de magnifiques designers de pochettes d’albums comme Neil Fujita ou de photographes comme David Goldblatt ou Ren Hang.  Je prends tout ce qui me touche. 5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu crées ? J’écoute énormément de Jazz et de Hip-Hop. Je pense que je peux donner un top 5 d’albums que j’écoute pour dessiner en ce moment : Kendrick Lamar: Mr. Morale & The Big Steppers Mac Miller: Faces Denzel Curry: Melt My Eyez See Your Future Thelonius Monk : Solo Monk Charles Mingus : Mingus Plays Piano Après je reste très éclectique dans ce que j’écoute, de la bossa nova à la city pop japonaise je reste toujours ouvert à toutes sortes de vibes. 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Ma spécialité c’est le risotto au poulet aux champignons. Le tout c’est de bien faire caraméliser les oignons, du bon parmesan et d’y mettre beaucoup d’amour. 7 ) Quels sont tes projets à venir ? J’ai une nouvelle exposition avec Willy Cazuguel du 17 mars au 12 avril au 389 rue des Pyrénées. Je suis très excité par cette collab ! Sinon j’ai toujours pas mal de projets en tant que graphic designer. Pas mal de belles pochettes et de clips animés en cours ! 8 )Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? Quand j’avais 15 ans, je suis allé voir un concert de MF DOOM au bataclan. Comme le rappeur avait beaucoup de retard (1h30-2h) je me suis mis à parler avec le gars à côté de moi : un irlandais très sympa. A la fin du concert je me rends compte que cet irlandais est en fait le rappeur Rejjie Snow. Il me dit qu’il a bien kiffé notre discussion et me propose d’aller manger un burger avec lui et sa copine. Malheureusement mes parents n’étais pas chauds pour que j’aille diner avec un rappeur inconnu à 23h. Des années plus tard, Rejjie Snow est maintenant très connu et a fini par faire une chanson avec MF DOOM peu avant sa mort. 9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? Je pense que ça serait Léon Blum. Je pense que c’est quelqu’un qui a beaucoup fait pour rendre cette société plus juste. C’est d’autant plus inspirant qu’il l’a fait avec une force aussi singulière et en brisant l’archétype de l’homme de l’époque. 10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Je dirais de faire ça step by step. Jamais je n’aurais pensé devenir artiste. En faisant ce qui me tenais le plus à cœur et en m’entourant de gens bienveillant j’ai réussi à prendre de la force et à me construire. C’est important de rester le plus authentique possible tout en se remettant en question sans oublier de s’amuser. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 26, 2023Pour la première vidéo de « Montres-moi ton dressing » nous sommes tombés sur Morgane qui ne nous a pas montré son dressing pour le coup, mais plutôt son magasin, car elle est fondatrice de @peztafrip, une friperie au kilo avec pleins de pièces tendances rangées par couleurs 🌈  Petit bonus : Morgane nous a relooké pour l’occasion, alors quelle look allez-vous préférer ? 🤔 ➡️ Pour l’hôtesse de l’air vintage et sexy, tapez 1  ➡️ Pour la cyber punk printanière, tapez 2 On attend vos choix en commentaire 👇🏽 📍Pour retrouver le shop de Peztafrip, rendez-vous au 3 rue des capucins, Lyon  #fashion #friperie #relooking #lyon #dressing  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 20, 2023Nouveau moment de contemplation artistique, on a découvert Juan Mendizabal et son art tout en couleur, des couleurs qui agissent sur nos émotions guidées par la magie de artiste espagnol. sans plus attendre, découvrez Juan Mendizabal en 10 questions, ci-dessous : 1 ) Qui es tu ? Mon prénom c’est Juan, mon nom de famille c’est Mendizabal. Je suis ici aujourd’hui pour présentermon travail de peintre, d’artiste, je suis né à la ville de Bilbao, j’habite à Paris depuis assez longtempset j’ai vécu à Londres pour un court période, court mais important. Je cherche quelque chose que jene trouve pas, je pense même que je ne la trouverais jamais mais il me faut, pourtant, continuer à lachercher. 2 ) Quel est ton parcours ? Je cherche quelque chose que je ne trouve pas, cela dure depuis longtemps, depuis les années quatrevingt. J’ai eu une formation académique, j’ai fait les Beaux-arts à l’Université du Pays Basque, en Espagne, j’ai fait la Faculté d’Arts Plastiques à Paris 8 Saint -Denis, j’ai participé à des expositions et bénéficié des bourses et d’aides, mais il y a eu toujours -en parallèle- d’autres sollicitations, d’autres expériences, des boulots à peine alimentaires et indispensables et d’autres emplois qui sont devenusintéressants, qui ont établi un rapport de vases communicants avec la pratique de la peinture, je pensenotamment en disant cela, à l’enseignement. 3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? Je préfère parler de mon travail ou de ma pratique, plutôt que de mon art. Mon travail se fait dans letemps, comme si les pièces seront entassées les unes sur les autres. Autour de 1994, beaucoup deparamètres se sont fixés dans mon travail, depuis, j’ai parfois l’impression de travailler toujours sur lamême pièce. Il y a, dans mon travail, d’un côté la couleur avec ses deux dimensions parfois en contradiction. Lacouleur avec sa façon directe d’agir sur notre système nerveux et la couleur, au même temps, agissantdans son association avec nos expériences singulières, avec notre mémoire. Il y a, également dans mapeinture, un rapport à l’organisation des couleurs proche de la musique, avec ses rythmes, colorations,tons et silences. Pour finir, dans mes peintures, qui semblent presque silencieuses, s’est établi unrapport grandissant avec les mots, avec les titres et, parfois, avec un récit subjacent qui est enterré parla forme mais qui lui donne une structure. 4 ) Quelles sont tes inspirations ? Je serais plus à l’aise en parlant d’éducation, de ce qui a façonné ma sensibilité. J’ai reçu une éducationqui ne me convient pas et il m’a fallu refaire, inventer une autre éducation pour avoir les outils quim’ont permis d’être dans le monde et d’agir. C’est un travail qui a commencé avant, mais la découvertede l’art moderne, celui de la première moitié du vingtième siècle- jusqu’à la fin de la deuxième guerremondiale- les Malevitch, Miondrian, Albers, Sophia Taueber Arp… cette découverte m’a fourni uneforme d’éducation qui consiste à chercher et à conquérir des quotas de liberté. Le vingtième siècle aété particulièrement meurtrier mais c’est aussi le siècle ou nous avons conquis des quotas de libertédans une progression géométrique. Les artistes ont joué un rôle dans cette progression, un rôle quenous ne pouvons peut-être plus jouer. Mon éducation est débitrice de ces artistes-là. 5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu crées ? (Cite quelques noms d’artistes et/ouchansons) Je ne travail jamais avec de la musique en toile de fond, car la musique peut me tromper. Il m’est arrivéde partir de l’atelier avec l’impression d’avoir réussi quelque chose d’intense et de revenir lelendemain, regarder la même peinture sans musique et me rendre compte que l’intensité ne venaitpas de mon travail. Par contre, je mets la radio, la parlotte, des gens qui discutent, comme une formed’interférence qui me pousse à la concentration. Cependant il y a Heaven Stood Still de Willy de Ville,une chanson que j’ai croissé à un moment de ma vie ou elle me parlait particulièrement, j’ai travailléalors sur une série de tableaux avec ce même titre général mais dans laquelle, en plus, chaque tableauavait pour titre individuel une lignée de la chanson. C’était un geste d’adolescent comme quand, enécoutant une chanson tu pouvais imaginer tout un monde qui lui était propre et auquel tu voulaisappartenir, alors tu ressentais le besoin de t’approprier la chanson, de faire qu’elle soit un peu à toi.Quelque part, c’est ce que j’ai fait maintenant avec Heaven Stood Still. 6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Je suis un monstre en cuisine, j’aime manger et j’aime cuisiner, je sais cuisiner beaucoup de platsdifférents, mais j’ai une préférence pour les recettes simples, avec peu d’ingrédients et peud’élaboration, mais avec un résultat savoureux, par exemple le Thon à la tomate ou le Maffé de poulet. 7 ) Quels sont tes projets à venir ? Mon projet d’avenir c’est de tenir, tenir bon, tenir le cap…tenir. Faire tenir en pied ma peinture, conçuecomme un travail d’artiste presque classique, qui l’accompagne tout à longueur de sa vie et lui permetsd’établir une direction. Tenir avec tout le reste, car autour de l’œuvre et au-delà de l’œuvre, la vie estcimentée par tout ce qui n’appartient pas à notre travail d’artiste mais qui reste indissociable de celuilà, mon projet est donc de tenir, tenir avec tout, tenir face à tout. 8 ) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? Je me sens un peu pudique, on a tous nos vies, chacun a la sienne et personne n’a besoin des petitesparticularités de la mienne pour remplir sa propre mémoire. Il y aura peut-être quelque chose de drôleà trouver mais j’ai un peu du mal, je l’avoue, avec la légèreté, alors que c’est quelque chose qui mereste à apprendre car, la légèreté, me semble indispensable à la survie et à l’épanouissement des êtreshumains. 9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? Françoise Sagan. Je pense que nous aurons le temps d’échanger en me faisant bénéficier de ses pointsde vue éclairés et pertinents mais qu’il nous restera, en quarante huit heures, le temps d’aller jouer aucasino et cela me semblerait un bon moyen d’enrichir notre rencontre. 10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Je pense que le meilleur conseil c’est de dire qu’il faut se méfier des conseils et qu’il faut se demander,toujours, pourquoi telle ou telle personne vous donne tel ou tel conseil. C’est difficile de regarder droitdevant soit et de se demander ce qu’on veut, nous, ce qu’on veut vraiment malgré le prix à payer. Dansun tel exercice il faut d’éviter les peurs, les conditionnements, les perspectives partielles, les positionsde ceux qui sont, potentiellement, des donneurs de conseils. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 24, 2023Rencontre avec Willy Cazuguel, un artiste peintre qui met en couleurs le néo expressionnisme du surréalisme et de l’abstrait. Ce touche à tout que l’on peut nommé d’hyperactif créatif sort de sa bulle pour répondre à notre Art Interview en 10 questions. 1 ) Qui es tu ? Je m’appelle Willy Cazuguel je suis né en 1982 en Seine Saint Denis et je suis artiste peintre, sculpteur, graphiste, musicien et je me suis mis recèment dans le textile (recycling)  et j’ai crée un marque de vêtements qui verra le jour prochainement.  2 ) Quel est ton parcours ? Mes parents m’ont inscrit dans un centre d’art à 8 ans et depuis je continue à peindre et dessiner  en autodidacte. J’ai toujours expérimenté pour créer. J’ai exposé  mes  peintures et sculptures dans plusieurs événements et  dans la galerie 389 la boutique dans le 20ème arrondissement l’an dernière et prochainement au mois de mars. Pour ce qui est de la musique j’ai plusieurs projets en cours.  3 ) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? En peinture je dirais que j’ai mixé du néo expressionnisme du surréalisme et de l’abstrait, j’aime les textures et effets de matières avec la peinture ou des morceaux de textiles. Je matérialise ce qui me passe par la tête.  Ces derniers temps   les sujets que j’aborde son basé sur mes croyances et mon expérience personnel, mais je ne me fixe aucune limite, l’année prochaine je serais peu  être sur les endroit où on ne jete jamais un coup  d’œil comme le dessous d’une voiture qui nous observe tel un point de vue oublié.  4 ) Quels sont tes inspirations ? Je m’inspire absolument de  tout ce qui m’entoure ( ma vie, les gens, des textures ou formes  dans la rue ou dans la nature, la lumière de jour comme de nuit, une simple association de couleurs, les films et séries, la mode, l’esthétisme des 90s,la musique, les comics  américains surtout un en particulier qui a inspiré ma façon de peindre et dessiner qui est « LOBO » et mes croyances que vous retrouverez sur mon travail récent.  5 ) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu créés ? Je n’ai pas de Playlist défini j’écoute absolument de tout je suis friand de musique et de découverte, je peut écouter un saxophoniste de free jazz japonais, comme de l ambiant, coldwave, du rap, ghettotech, lofi ou musique traditionnel du monde ect , c’est pour ça que de temps en temps je peux mettre la radio fip qui est très variée et parfaite pour la curiosité et la découverte mais en ce moment j’aime écouter Archy Marshall, Jwles,Dean Blunt, Black Marble et du free jazz.  6 ) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Je n’ai pas de plat que je cuisine le mieux. Je sais tout cuisiner. Il suffit que J’apprenne la recette en l’agremémantant  à ma sauce et c’est parti. Ma mère m’a appris à me nourrir et à confectionner toute sorte de plats depuis très jeune. Merci maman.  7 ) Quels sont tes projets à venir ? Envahir un max de galeries dans le monde. Niveau musique sortir tout les projets possible et mettre en lumière mon travail dans le textile et la mode.  8 ) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? Il y’a un an j’étais avec un ami on a fait une soirée posé chez moi avec de la musique et on a mangé une bonne dose de champignons hallucinogènes. En fin de soirée encore sous trip mon pote dessinait sur un carton de pizza et je n’arrivait pas à voir ce qu’il faisait parce que ça bougeait. J’ai voulu essayer de faire de même ça m’était impossible de structurer mon idée parce que le dessin était en lévitation à 10cm au dessus du carton comme si je dessinait avec un stylo 3d c’était dingue. Le lendemain quand tout était redescendu j’ai vu le dessin ça ressemblait à une boule de scuie dans le Voyage de Chihiro mais écrasé , en bouilli comme si quelqu’un avait ce truc sous ces semelles et avait dansé du Memphis joking.  9 ) Si tu pouvais 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré ce serait qui ? J’aimerais rencontrer mon père que j’ai perdu très jeune pour qu’il m’explique la vision qu’il a de l’expérience qu’est la vie. Il était artiste.  10 ) Un petit mot ou conseil pour la fin ? Faite ce qui vous tiens à cœur ne vous mettez pas de barrière, écoutez vos intuitions, la vie passe trop rapidement il faut prendre les clés que vous tend la vie pour ouvrir ces foutus portes et établir votre univers. Croyez en vous, soyez fière et reconnaissant.  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 24, 2023Laissez tomber la fame des catwalks de la Fashion week et toute cette « snobinardise » superficielle. Il est temps de se rapprocher de votre côté nature et de braver les sommets de l’habit utile et pratique avec un look de grimpeur branché. En gros, la marque de vêtement et label de musique, Maison Kitsuné s’associe à la marque and Wander pour nous dévoiler en avant première une collection de vêtements sportifs pour les activités montagnardes, une célébration de la liberté et de l’évasion qui ne se fait pas sans style. Prévu pour la saison printemps/été 2023, le pré-lancement exclusif aura lieu le 4 mars à Paris et à Tokyo dans les boutiques Kitsuné Filles du Calvaire et Maison Kitsuné Daikanyama.  J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 20, 2023Rencontre avec Etienne Boissier, un artiste peintre de la « figuration sociale » qui se livre comme dans un journal intime à travers ses tableaux infusés de sincérité colorée de réalités parisiennes aussi belles que trash, un univers authentique qui lui appartient car comme il le dit si bien, « chaque jour est une toile vierge ». 1) Qui es tu ?  Je m’appelle Étienne Boissier je suis né dans le 20e arrondissement de Paris en 1981, je suis artiste peintre. 2) Quel est ton parcours ? J’ai pris la rue à gauche, je suis allé dans un bar, j’ai rencontré ma muse et je me suis mis a peindre. Plus sérieusement, j’ai toujours dessiné, je voulais faire des comics étant enfant, puis j’ai découvert Robert Crumb et la culture underground, puis le graffiti, je suis devenu graphiste pour des groupes de rap, j’ai fais du custom de vestes en jeans et désormais je me consacre pleinement à faire des tableaux en perfectionnant mon style et ma technique personnelle. 3) Que peux-tu nous dire sur ton art en quelques mots ? Je fais de la peinture figurative inspirée par les choses que je vois dans mon quotidien, avec un style réaliste teinté d’expressionnisme. Je fais beaucoup de portraits de mon entourage, de gens que je rencontre, des scènes de rue, des bouquets de fleurs, des clodos, des bords de trottoirs, tout ce que je remarque qui pourrait faire des tableaux intéressants. On pourrait appeler ça de la figuration sociale, une peinture près des gens. 4) Quelles sont tes inspirations ? Je m’inspire beaucoup de ma vie, de ce qui m’arrive, de ce qui se présente à moi, vraiment comme un journal intime. Ça peut aussi être des images populaires au hasard, des objets de consommation, des vieilles photos de famille avec une sorte de nostalgie. J’aime la peinture expressionniste, voire classique, je peux donner des noms pour ceux qui connaissent un peu la peinture: Edward Munch, Vincent Van Gogh, Lucian Freud, Georg Baselitz, Balthus, Alice Neel, Julian Schnabel… 5) Quelle est ta playlist de prédilection quand tu crées ? Quand je peins, j’ai besoin d’une musique qui me mette dans un « mood », des musique de films un peu dramatique, du rock nineties, du trip hop comme Pino d’Onagio, Madlib, Tricky, Nine inch nails, Nirvana, Coilguns, Wu tang Clan, Jay Dilla, Sonic Youth. 6) C’est quoi le plat que tu cuisines le mieux ? Je ne cuisine pas vraiment, mais je sais faire des tagliatelles au saumon. 7) Quels sont tes projets à venir ? Continuer à exposer à la galerie 389 dans le 20e, et developer un mouvement artistique avec d’autres artistes d’avant-garde autour de la FISO (figuration Sociale), je suis ouvert à des propositions de pop-up ou de résidences d’artistes, j’aimerais exposer à l’étranger, voir comment les gens réagissent à mon travail ailleurs. 8) Si tu devais passer 48h avec une personne que tu n’as jamais rencontré, tu choisirais qui et pourquoi (tu ferais quoi avec) ? Rencontrer mon moi créatif ultime, et l’utiliser pour faire le chef d’œuvre de ma vie. 9) Peux-tu nous raconter une anecdote à ton sujet ? En 2017 on m’a commandé une veste en jeans peinte, c’était pour Nicki Minaj pour un tournage de clip à Paris. La veste a été refusée par le styliste de Nicki car elle sentait trop la cigarette. La veste a quand même été vendue. 10) Un petit mot/conseil pour la fin ? Rester soi-même quoi qu’il arrive, être sincère et libre dans son travail. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 18, 2023Il n’y a pas que Riri qui a volé la vedette au Super Bowl lui même cette année. C’est d’ailleurs chaussé aux pieds de Rihanna, qui a accessoirement annoncé une deuxième grossesse, que les Sneakers sat ont fait leur apparition. Derrière le génie créatif de ce design qui nous a fait littéralement craquer, on retrouve MM6 (Maison Margiela) et Salomon, un combo gagnant qui a explosé en visibilité grâce à l’événement. Que ce soit en mode basses ou montante façon Trek St Valentin (c’est ce à quoi les couleurs nous on fait pensé), les modèles ont une vrai dégaine et un choix de coloris tendances qui donne envie de les porter pendant toutes les saisons, histoir d’apporter la tocuhe de couelur qu’il faut à son look. Bref on survalide la MM6 X Salomon ! J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 17, 2023Quelques nouveautés Mode qui vont réveiller votre âme de sapologue et faire chauffer votre carte de crédit 🔥 👉🏽 Le Andiamo Bag de Bottega Veneta https://www.bottegaveneta.com/👉🏽 Pharell Williams et Vuitton https://fr.louisvuitton.com/👉🏽 Les Diams pour dents de Faculty https://www.faculty.world/👉🏽 L’ultarian Future de Pièces Uniques https://piecesuniques.fr/👉🏽 Dior by Mystery Ranch Saddle Bag https://www.dior.com/fr_fr/fashion/mode-homme/dior-by-mystery-ranch👉🏽 Savage X Fenty « Full Speed » https://www.savagex.fr/👉🏽 AGR «  Creativity Is Power » Collection https://agrknit.co.uk/👉🏽 OFF-WHITE X Chicago Bulls Capsule https://www.off—white.com/en-us/collections-editorial/off-white-co-chicago-bulls👉🏽 Wacko Maria X Jean Michel Basquiat https://wackomaria.co.jp/👉🏽 North Face «  Reawaken » capsule https://www.thenorthface.com.hk/reawaken/ #fashion#streetwear#urbanwear#trends#fashiontrends#fashionnews J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 13, 2023Depuis plus d’une semaine, la fashionsphère s’emballe pour les « BIG RED BOOTS », des boots au design plutôt audacieux qui nous rappelle vachement nos bons vieux fromage de l’enfance, les Babybels… Mais c’est plutôt en s’inspirant de l’Astro Boy du Manga japonais « Astro, le petit robot » d’Osamu Tezuka que le collectif New-Yorkais MSCHF a trouvé cette idée plutôt loufoque mais terriblement originale qui fait déjà beaucoup parler alors que le modèle n’est pas encore sorti (sortie prévue le 16 février). Allez-vous succomber à cette nouvelle trend ? Telle est la question. On attend vos avis en commentaires 🙂 J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 8, 2023Collection capsule particulièrement exclusive qui risque de faire des envieux, la marque de Drake, October’s Very Own (OVO), s’associe à la NFL (National Football League) pour la toute première fois afin de nous dévoiler quelques pieces de Streetwear qui finiraient bien dans notre dressing. Invités pour le shooting de la campagne, les rappeurs Lil Wayne et Benny the Butcher représentent respectivement les Green Bay Packers et les Buffalo Bills. Un duo inattendu et représentatif qui propulse cette collaboration marquée d’un logo hibou en tendance actuelle chargée d’histoire. Que pensez-vous de cette nouvelle collaboration ? Dites le nous en commentaire ! J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 8, 2023Vous ne pouvez pas le rater en ce moment, le nouveau chef chouchou des français, Mory Sacko a encore frappé fort avec une collaboration signature chez Sushi Shop, un nouveau moyen d’associer les saveurs africaines aux saveurs asiatiques qu’il affectionne tant. Ainsi, on retrouve gombo frais tranché ou huile de palme sur des sushis qui ont voyagé de Bamako à Okinawa pour se retrouver chez vous en un clic, ou sur place. Une belle évasion pleine de belles promesses gustatives qu’il vous faut vire sans plus attendre. Allez-vous tenter l’expérience ? On attend vos retours en commentaire ! J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 7, 2023Encore une nouvelle stratosphérique pour la planète Sneakers. La célèbre marque de joaillerie dont toutes les futures fiancées venues d’un monde posh rêvent,  Tiffany & Co., s’associe à la référence Streetwear, Nike  pour une collaboration de Sneakers et Accessoires qui a déjà fait beaucoup coulé d’encre en très peu de jours. Le bleu turquoise pasteurisé de la marque Tiffany & Co. se conjugue en noirceur pour plus de relief, le tout orné de couleur argent pour un détail qui se décline en accessoires lifestyle. Brosse à dents, sifflet (pourquoi pas) et lacets ornés de médaillons pratiques; le duo éphémère fait fort en nous livrant une collection limitée qui donne envie d’appartenir à ce privilège vestimentaire. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 1, 2023Voilà une collaboration choc qui révolutionne le monde la basket ! La marque Asics s’associe à Toyoda Gosei, un fournisseur membre du groupe Toyota et spécialisé dans la fabrication et la vente de pièces automobiles, en caoutchouc et en plastique, mais aussi sur les systèmes de sécurité. On va pas se mentir, on est pas hyper fancy sur le côté mode même si ce choix de gammé de couleur au nuancier beige rosé est plutôt attrayant, néanmoins on est méchant, vue de profil la paire de snackers se défend dans son style, mais avec quoi la porter ? On attend vos idées de styles en commentaires 🙂 Sinon, vous pouvez la trouver en vente, ici : https://www.asics.com/jp/ja-jp/gel-sonoma-15-50/p/1201A727-100.html?width=STANDARD Photos : Asics J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
février 1, 2023Vous ne pouvez-pas avoir raté la prestation de la grande et unique Rosalía, au #LVMenFW23, dernier défilé de la marque Louis Vuitton pour la Fashion week Homme la semaine dernière. Implantée dans un décor à la Ikea Rétro, Rosalía mène la danse et donne le pas aux clients de la boutique, enfin, aux mannequins, alternant moment de show captivant et moment de lâchage en roue libre à dessiner sur les murs d’une chambre d’enfant. Bref, on déconne beaucoup mais cette collaboration est folle, nous n’avons pas pu y assister mais on aurait bien aimé, car même en vidéo, on peut déjà sentir els frissons en nous. Bref, si comme nous, vous n’avez pas eu la chance de découvrir cet événement unique, on te propose de te rattraper, juste ici : J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 7, 2018Montres, capsules de bières et coquillages. Dans la tribu semi-nomade « Daasanach » vivant au sud de l’Ethiopie, la mode est à l’extravagance! Les  » Daasanach  » se réapproprient les déchets du monde moderne pour habiller leur coiffe surprenante. Tout y passe, on recycle tout ce qu’on ramasse pour avoir le plus jolie couvre chef! Tribu de tueurs de crocodiles, il sont environ 50000 pensionnaires de cette communauté africaine, adepte du style  « m’as tu vu ».     Barrettes à cheveux , vieilles montres, capsules de Coca; les « Daasanach » recyclent tous nos objets anciens pour les transformer en de sublimes coiffes. Les objets ne sont pas distribués au hasard parmi la communauté, Eric Lafforgue  explique que chaque individu en profite selon certains rituels. « Les jeunes hommes aiment porter des colliers et boucles d’oreilles tandis que les filles ont de plus gros muscles, car elles s’attèlent aux taches les plus physiques comme transporter de l’eau. Pour éviter de se faire subtiliser leurs coiffes pendant leur sommeil, ils ne s’en séparent jamais et utilisent des oreillers-cou en bois. » Les jeunes filles et les enfants obtiennent la version la plus basique de la coiffe, tandis que les femmes les plus âgées ont les coiffes les plus lourdes avec le plus de décorations possible. Les hommes ne sont pas autorisés à porter les meilleures coiffes, c’est seulement après s’être mariés qu’ils peuvent se créer une petite coiffe colorée accessoirisée d’une plume. Mais ils ont le droit de la porter uniquement après une chasse ou après avoir affronté avec succès un ennemi. Cette mode insolite de réappropriation de biens manufacturés jetés est très dans la vague du DIY (do it yourself), du fait maison, omni présent dans notre quotidien. Certes c’est très original et pas facile à porter mais j’aimerais bien voir ce que ça pourrait donner du côté de chez nous! Alors Chiche! À vos crayons, à vos mains minutieuses, à votre imagination débordante; je veux voir des photos ou dessins de vos créations!!! Récupérez ce qui traine et faites vous votre couvre chef pour l’été!!                         J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 7, 2018Se taper une sieste dans le dernier canapé-lit d’Ikea pendant ta pause déjeuner, impensable tu me diras… Et pourtant chez IKEA en Chine, les clients sont invités à essayer le mobilier et se coucher pour estimer le confort d’un éventuel achat est plus que recommandé… Du coup, en raison de fortes chaleurs certains malins viennent s’endormir un petit coup entre deux achats, bercés par la climatisation… Sympa non? Mais vu l’affluence des non consommateurs et des abus, IKEA a décidé de changer ces règles internes et d’interdire cette mauvaise habitude. Ceci dit, on imagine mal se coucher dans un lit où 40 clients se sont couchés dans la semaine, vous imaginez? Le Photographe Kevin Frayer à immortalisé ce phénomène qui parait bien étrange voici son site : http://www.kevinfrayer.com/ J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 2, 2018Il y a des personnes pour qui dans la vie deux choses comptent: LE POULET ET LE CHOCOLAT… Alors pour satisfaire les envies les plus folles de certains, KFC a décidé de réinventer la chasse aux oeufs  de Pâques en innovant, grâce au savoir-faire d’un pâtissier-chocolatier français (oui je sais on est les meilleurs et oui je sais Pâques c’était y’a quelques semaines). Au menu : Petit Pilon de poulet au chocolat Une association « chic choc » d’où le nom, CHICKEN’CHOC! On se prend un Bucket pour la route? J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 2, 2018  Avoir la coupe de cheveux couleur Fluo n’est pas une nouvelle mode. D’autres avant ont essayé la tête colorée, comme les fans des années 80, les boysbands et Kelis. Du Fluo, Des couleurs Pastels, du faussement délavé, les cheveux ont tout connu au gré des tendances, mais cette saison on est reparti sur de la couleur pétante donc va falloir oser… Jeremy Scott nous propose la version Mi Pute Mi « 5eme élément » de la perruque carré de Château Rouge. Qu’est ce qu’on fait? On adopte?     Encore faut il avoir l’emploi qui le permet, savoir faire abstraction du jugement des autres et quand je dis autres c’est bien sûr les proches! Ceci dit avec la bonne couleur qui te va au teint, et si de bases t’as déjà un look légèrement marginal c’est quand même pas mal visuellement! Donc à cogiter!                             Sinon comme vous avez pu voir j’aime bien placer le travail des mes amis et connaissances et pour le coup je connais « la Boss » de la teinture colorée sur Paris. Elle bosse avec plusieurs magazines et marques dans la mode mais aussi avec des artistes européens. Elle est vraiment doué dans ce quelle fait et maitrise la couleur à perfection! Si tu veux du Pastel, Tie and Die coloré, du Fluo, Du gris; c’est par elle qu’il faut passer! C’est une Hair Stylist de ouf et d’ailleurs son talent ne se porte pas que sur la coloration, elle fais aussi des « braids »/tresses de malade bref vous allez voir de vous même!   Voici quelques exemples de son travail:       POUR LA CONTACTER: https://www.facebook.com/JuanitieAndDye/   J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 2, 2018« DES PETITS TROUS DES PETITS TROUS ENCORE DES PETIS TROUS »   Serge Gainsbourg l’avait prédit, les trous dans le Denim ont fini par être tendance. Jusque là ça allait, le jean dévoilait un bout de genou, un bout de cuisse… Puis on a commencé à voir plus de peau que de jean, mais ça restait correcte. Il a fallu innover pour faire plaisir à ces nouveaux adeptes du nudisme dissimulé. C’est ce qu’on fait les designers de la marque CARMAR, en sortant le jean où on voit tout, qui franchement n’est pas vraiment portable mais qui coûte quand même la modique somme de 168 dollars!! Très L.A, vous allez me dire!   À ce prix là vaut mieux découper un vieux  jean chez soi, le résultat sera le même avec un peu de concentration… Sinon vous pouvez toujours l’acheter là: https://carmardenim.com/collections/all/products/extreme-cut-out-jean La coupe s’appelle « extreme cut out » et le moins qu’on puisse dire c’est que tu dois être super à l’aise dedans moins quand les gens te materont dans la rue avec ça!           J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 1, 2018Il y avait Picasso maintenant il a PRICASSO! Tim Patch, de son vrai nom, est le mec qui a décidé un jour de peindre des portraits avec son sexe. Ce qui est drôle dans son histoire c’est qu’apparemment il n’aurait jamais réussi à avoir un diplôme dans l’art et s’est rabattu sur autre chose avant de devenir le « Picasso » de la peinture sur toile au pinceau pubien. Pricasso fabrique sa propre peinture à base d’eau car celle basique contient de la chaux. Les portraits de nos dirigeants y passe et je trouve l’idée d’un portrait de Trump peint à la bite très drôle! Vous pouvez le voir en action sur cette vidéo: Quand à sa tenue, son string de scène et son Noeud/Chapeau, elle est digne d’un vieux Chippendale qui aurait pris trop de LSD avec des licornes mais bon il faut dire que le résultat n’est pas si « dégueu » au final! Et puis l’idée  l’imaginer dans une salle de bourgeois coincés, à moitié gênés et excités par la performance me fait bien rire! J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mai 1, 2018  On peut remercier Alicia. Déjà pour sa voix grandiose, mais surtout parce qu’elle nous à toujours aidé à s’accepter comme on est. Je me rappelle qu’à l’époque de mon adolescence, les filles des magazines devenaient de plus en plus minces, mais grâce à Alicia Keys et ses « grosses cuisses » que tous mes copains d’école adoraient, j’avais moins honte de prendre des bonnes formes potelés de jeune femme en construction… Puis, depuis deux ans, Alicia à décidé de ne plus se maquiller. Que ce soit pour le quotidien, en représentation officielle sur les tapis rouges ou en session shooting avec un grand magazine; elle apparait toujours aussi belle mais au naturel! D’autres stars s’y ont mis mais de manière plus soft, profitant quand même de certains moments de rechute pour cacher la misère. Franchement je trouve que ce qu’elle à fait c ‘est bien, même très bien! Premièrement parce que comme toute personne influente, elle véhicule un message, un modele que ses fans suivent à la lettre, et, contrairement à une Kim Kardashian ou autre célébrité inutile à l’éducation d’une jeune audience,  Alicia nous libère d’un gros poids: Celui d’avoir le choix d’être belle au naturel. Combien de fois je me suis dit que les hommes qui m’avaient vraiment aimé étaient ceux qui m’ont dit que j’étais plus belle au réveil, au naturel? Pourtant je me suis peinturé le visage pour en séduire d’autres, me donnant l’illusion d’avoir quelque chose en plus, voulant à tout prix ressembler à une autre avec une couche en plus de Make Up… Mais non, je n’étais juste pas faite pour ceux qui ne me voyait qu’en surface et des fois je faisais fuir les autres en faisant semblant d’être une autre… Au final, tout se passe dans la tête, c’est une question de feeling avec soi même, d’aura que tu dégages selon ton bien être intérieur. Alors oui, pourquoi pas adopter le no make up, non pas par esprit de tendance mais pour avoir le choix de se trouver sexy sans maquillage. Franchement, je vais continuer à me maquiller, surtout l’hiver parce que ma teinte « gris malade » n’est pas toujours hyper sexy à mes yeux. Mais je le fais beaucoup moins surtout quand je suis bronzé, une petite touche de mascara, un rouge à lèvres pour une « occasion », mais l’important c’est que je le fais pour moi… À  cette nouvelle tendance s’ajoute l’idée de se montrer tels qu’on est, avec ses vergetures, culottes de cheval et cernes qui reflètent la réalité du quotidien. Pauvres marques cosmétiques qui vont devoir redoubler d’efforts pour nous proposer autre chose que du Nude. Heureusement que de nombreuses marques 100% vegan 100% etc etc pointent leur nez pour conituer à se maquiller « Healthy »! À bas photoshop et les filtres spéciaux, montrez vous comme vous êtes, cela vous rendra spécial! Ça commencé avec un « I woke up like this  » et on finira peut être avec un « I stayed like this ».   J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 29, 2018Après des années de bons et loyaux services, tu t’en es allé… Tu es devenu un site de vente aussi commun que Ventes Privées toi qui m’a accompagné au quotidien dans mes débuts d’Extravafrench. Grâce à toi je me suis prise pour une génie de l’outil graphique en créant des collages du tonnerre. je me suis prise pour une grande rédactrice en chef qui détenait par ton outil le secret des tendances de la mode. Je t’ai aimé, je t’aime et je t’aimerais, toi qui a facilité mon travail et attiser mon excitation. Je te rends ce dernier hommage en re publiant toutes les créations visuelles que j’ai pu réaliser grâce à toi… Vas en paix, la petite famille polyvore ne t’oubliera jamais…. PS: Pour ceux qui ne connaisse pas, POLYVORE était un logiciel permettant d’assembler des moodboards grâce à une banque d’images de vêtements directement liés à leur site de vente d’origine.     LES « CRÉATIONS »     «    LA DECO         LES LOOKS     J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 29, 2018  L’artiste philippin  EISEN BERNARD BERNADO s’amuse avec l’art classique et les magazines contemporains en plaçant des couvertures avec leur photo sur des tableaux de manière à ce qu’ils s’assemblent parfaitement. C’est assez drôle pour le coup, il fallait y penser! Les superpositions sont parfaite et les images de couvertures intègre bien le décor de la toile. Pénélope et Kim se mélangent à Frida et Van Gogh, c’est subtilement marrant et le rendu est finalement pas si mal que ça… Alors effectivement on croit d’abord à une vieille blague faite sur photoshop mais l’idée derrière est intéressante. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 29, 2018Il est loin le temps où, à l’heure de ma puberté naissante, je rêvais de porter des strings comme les grandes. C’était l’étape 2, après la brassière pour bourgeons naissants, l’étape qui ferait de moi une demi femme. Et il faut dire que par la suite j’en ai mis des strings. En veux tu en voilà, ficelles involontairement dépassant mon jean taille basse à la J.Lo C’est fou comment ce petit accessoire me rendait bonasse dans ma tête de jeune femme découvrant son intimité. Mais voilà, le string aussi aura eu raison de moi! Entre les mycoses à répétition, la gêne occasionnée par un string trop agité bref beaucoup trop galère… Et puis c’est drôle, avec le temps ça m’a passé. Plus besoin du port du string obligatoire pour me sentir femme libérée, bien au contraire j’ai commencé à croire que la petite culotte blanche façon Petit Bateau était bien plus sexy sur moi. En vrai, le pauvre string qui a bercé notre adolescence ou vie de jeune femme connait un véritable déclin depuis quelques années (désolé messieurs). La femme cherche maintenant plutôt confort et subtilité pour  habiller son intimité. On ne veut plus de matières qui serrent, du synthétique qui désagréable à porter. Pire, imaginez vous revivre l’impensable, se faire tirer la ficelle du string lorsqu’on le porte. MALHEUR!!! Un soutien sans armatures, une culotte mi boxer mi tanga, de la transparence et dentelles pour gagner der le côté sexy; voilà ce qui convient de plus en plus à ces dames… En gros la tendance varie entre le Casual et le raffiné, les coupes et les coupes sont minimales. Les sous vêtements Sportswear apparents sont aussi une nouvelle tendance qui nous rappelle des artistes R’nB comme Aaliyah. Les coupes de culottes tailles hautes sont aussi très en vogue, Pin Up mais pas trop!     Bon ce n’est pas pour fayoter mais j’ai une copine créatrice qui fait des sous vêtements et je vous invite à découvrir ce qu’elle fait c’est vraiment top! Elle s’appelle Maikhanh Bertrand et sa marque de sous vêtements « Nue Lingerie ». MaiKhanh vit à Bali et fait tout sur place. Je l’ai connu en école de stylisme à Marseille. Cette fille m’a toujours épaté dans la finesse de sa création. Bref, passons, pour shoppez sa lingerie rendez vous sur son site: https://nuelingerie.com/collections/all   Je précise que je ne touche aucune rémunération pour sponsoring à mon niveau… (joke) Bref je me suis un peu éloigné du sujet et oui , j’écris comme je pense du coup j’ai pensé à elle en écrivant cet article. Tout ça pour dire que le string c’est terminé et que si vous ne savez pas où trouver une belle lingerie sans prétention, plein de belles marques existent crées par de petits créateurs comme mon amie. Allez vous résister longtemps à l’appel du Tanga? J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 28, 2018  Comme Edith Piaf, voyez la vie en Rose. Pour cela pas besoin qu’il vous prenne dans les bras mais d’une bonne assiette de salade « Rosa del Veneto ». Nouvelle starlette des assiettes colorés d’Instagram, la Pink Lettuce ou encore le Raddiccio Del Veneto, cette variété de laitue de couleur « rose millennial »  est un véritable plaisir pour les yeux. Elle attire autant car sa couleur est LE rose du moment, son apparition des podiums ou nouvelles tendances capillaires lui à valu le titre de couleur de l’année par Pantone en 2016 et le fameux hashtag #millennialpink. Reste à savoir si le goût est à la hauteur de son apparence mais je n’ai aucun doute là dessus!     Ce légume ne pousse qu’en hiver et au début du printemps, principalement en Italie, dans la région de Venise, où il est protégé par une appellation d’origine contrôlée. Des fermes américaines en produiraient également en Californie et Pennsylvanie. Ce n’est pas un nouveau légume : il existe depuis bien longtemps à l’état sauvage. Pour l’acheter, Renseignez-vous auprès de votre primeur, car certains annoncent en vendre en ligne. L’autre option consiste à acheter des graines et à les semer en juin, pour une récolte à l’automne prochain. Bonne dégustation!                   J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 28, 2018  Nouvelle raison de renoncer au mariage pour de bon, la nouvelle tendance est aux piercings de mariage. C’est carrément moche et t’es sûr de te choper une infection avec ça, au pire perdre un doigt… Mais bon le style a ses raisons que la raison ignore, en tout cas, ce style ne passera pas par moi. Courage aux adeptes, je ne sais pas qui a inventé cette idée loufoque mais j’espère que cette mode sera vite dépassée! Bien évidemment cette tendance s’étant aussi aux célibataires, pas besoin de projet de mariage pour les adeptes du « fingerpiercing », vous pouvez le porter seul ou accompagné d’autres bagues. Pour les plus courageux, voici les images de ce massacre. Âmes sensibles s’abstenir… Si au contraire l’idée vous plait, vous trouverez plus d’inspirations en hastaguant #fingerpiercing sur Instagram. J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 28, 2018  À 71  ans, Marina Abramovic est un phénomène un peu étrange et très controversé. Il faut avouer, ces performances sont aussi « choquantes » que complètement décalés. Elle s’est laissé par exemple en 1974, toucher et agresser par le public pendant six heures d’affilées (de 20h à 02h), public qui avait à disposition des instruments de plaisir et de destruction à utiliser selon leur volonté… Une affiche donnait la consigne: « Sur la table il y a 72 objets avec lesquels vous pouvez me faire ce que vous voulez. Performance. Je suis un objet.  Je prends la responsabilité de tout ce qui se passera dans ce laps de temps. Durée : 6 heures (20h – 2h) » Elle a donc finit par se faire déchirer les vêtements en public lorsque qu’une autre personne lui tenait un pistolet sur la tempe, AMBIANCE… Pour sa prochaine prestation Marina a décidé de frapper fort et de se faire électrocuter et recevoir 1 000 000 000 de volts dans la tronche pour le plaisir de l’art! Ce sera en 2020 pour ses 73 ans. Son but n’étant pas de mourir (OUF), cette performance visera plus à redéfinir les limites de la résistance à la douleur que frôler le sensationnel… J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 28, 2018On avait le fromage en Tranches pour les Croques Monsieur fait rapide à la maison mais ça ne suffisait pas, pour avoir encore une bonne raison de céder à la « mal bouffe » des américains de Los Angeles on décidé de se faire financer sur Kickstarter l’idée pas si conne que ça de vendre des sauces en tranches notamment l’incontournable Ketchup. Du coup ce ne sera plus trop galère de dégainer son Ketchup dans la salle de pause pour le prochain lunch entre collègues. Ça à un peu le gueule d’un cranberry mais du coup pas de soucis pour l’effet « sauce qui coule », enfin ça reste à voir… Pour précommander et financer toi aussi cette idée saugrenue c’est par ici: https://extravafrench.com/wp-admin/post-new.php T’as même droit à la petite vidéo d’explication histoire de t’émouvoir et croire encore plus au projet… ENJOY   J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 28, 2018Le Nigéria n’a jamais été aussi « cool ». Déjà comment  ne pas parler de la Naija Music qui envahit les dancefloors du monde entier, de l’évolution du pays qui n’a rien à envier au monde occidental (oui je sais je pars loin). Et là, dernier coup de grâce, voici la collection prévue pour l’équipe de Foot du Nigéria. Alors je précise, je m’en fous totalement du football en général, c’est simple ni le joueurs ni les championnats mais là je suis bluffé par le style de cette collection, ça me donnerait presque envie de m’y mettre pour les porter 🙂 Bref, ce n’est pas vraiment la peine d’expliquer pourquoi, le choix des motifs et couleurs sautent aux yeux. Le mélange des motifs est osé mais discret, ce mélange entre tons verts foncés, motifs « zébrés » et d’autres qui rappellent notre cher Wax continental, tout est pesé et le résultat est parfait. Même le BOB n’a jamais été aussi sexy à mes yeux! On se croirait presque dans un clip de Sean Paul dans une forêt de Jamaïque, alors oui ça n’a rien à voir avec le Nigéria et non je n’ai pas fumé la Ganja de Sean paul mais que voulez vous c’est ce à quoi cette collection me fait penser! J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
avril 28, 2018J’ai découvert la « bière/shot de whisky » lors de mon aventure New Yorkaise. Avec mon copain de l’époque nous ne buvions que ça dans les bars de Brooklyn. Déjà c’était pas cher et puis il faut dire qu’au bout de trois tournées on finissais pompette! Bref je ne connaissais pas du tout avant d’y vivre, et j’ai tenté plusieurs fois de perpétuer la tradition à mon retour en France mais ma nouvelle lubie d’alcoolique ne faisait pas l’unanimité au sein de mes amis. J’ai donc vite oublié mon petit rituel en le remplaçant par un simple verre de vin ou un shot de Tequila Paf. La bonne nouvelle c’est que ce mix fatal pour l’apéro débarque en France et ça risque d’être très JoJo à la sortie des bars… Appelé BoilerMaker c’est une tradition qui vient d’Irlande qui consiste à boire un shot de Whisky suivi d’une pinte de bière. Pour ma part j’étais abonné au Jameson, qui d’ailleurs présente un nouveau breuvage avec Outland façonné par Jeffrey Howard, chef texan du Melt et Yann Geffriaud fondateur de la brasserie Outland. Une rencontre, couverte par Vice, qui donne naissance à l’idée de faire vieillir la bière dans plusieurs anciens fûts de whiskey. source: https://www.opnminded.com/2018/04/27/le-boilermaker-combo-biere-whisky-revient-sur-les-comptoirs.html   J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…
mars 31, 2018« LES BOWLS », c’est cette nouvelle tendance anglo-saxonne qui envahit les brunchs de Hipsters ainsi que les comptes Instagram de tous ceux qui se revendiquent Healthy. Manger un Bowl c‘est un peu comme manger une peinture exotique. C’est plein de couleurs, ça fait voyager, et t’as juste l’impression d’être requinqué à vie tellement ça fait longtemps que ton estomac n’avait pas connu autant de bonnes choses pour ton corps et pour ton esprit. T’as bonne conscience car comme dans la pub « t’as tout mangé », tes 5 fruits et légumes par jour et apparemment t’as même le droit d’y ajouter un poisson ou une viande sans culpabiliser d’être mal vu comme devant ta double cote de boeuf « low cost » du Pedra Alta. Buddha Bowl, Poke Bowl, Açai Bowl… T’as beau voir les hashtags défiler sur ton fil d’actualité mais t’as toujours pas pigé qui quoi comment? Faisons un tour de la question pour mieux comprendre: Le Buddha Bowl Qu’est-ce que c’est ? L’une des premières recettes a été publiée par la papesse américaine des livres de recettes, Martha Stewart, en 2013. Des sites avancent des concepts transcendantaux, voire capillotractés: un équilibre mental commence par un équilibre dans l’assiette; tous ces petits morceaux différents forment un ensemble coloré et cohérent, un moment d’apaisement et de bonheur, tel l’éveil du Bouddha; la notion de « réincarnation » en utilisant ou réutilisant la totalité d’un aliment, etc.   Bon Appetit a interrogé un moine bouddhiste, à la tête d’un temple à New York, sur ce plat. Il s’est « attristé » de voir « un mot spirituel utilisé hors de son contexte » et « industrialisé ». Doyal Gauranga y voit un parallèle avec le yoga, une discipline qui trouve sa source dans la spiritualité, aujourd’hui gommée. Cependant, il reconnaît que « l’équilibre est primordial dans la spiritualité » et qu’il est dès lors « important d’avoir une alimentation équilibrée. On ne peut pas avoir de spiritualité sereine si on mange trop ou pas assez ». Derrière ce nom énigmatique se cachent toutes sortes de recettes et pour cause, le Buddha Bowl n’est ni plus ni moins qu’un repas dans un bol (tout ça pour ça, oui). Mais attention, ne va pas imaginer que tu étais précurseur quand tu mélangeais tous les restes de ton frigo dans un bol en matant une série, on parle ici d’un repas à base de choses saines. Des légumes, une portion de céréales, des noix ou des graines, et éventuellement une viande ou du poisson, voilà de quoi se compose un Budda Bowl digne de ce nom. Comme pour toute recette, la touche du cuisinier est primordiale. Si certains établissements proposent des Buddha bowls aux ingrédients déjà sélectionnés en fonction de leur équilibre nutritionnel, d’autres peuvent vous proposer le choix parmi une sélection de portions cuites, crues ou même frites. Alors, c’est à vous de choisir judicieusement et en fonction de votre régime alimentaire. Ainsi, optez pour un seul aliment frit. Sinon, votre bowl n’aura pas moins de kilocalories qu’un menu sushi (environ 50kcal par sushi saumon simple, sans sauce) ou même qu’un burger (500kcal en moyenne). Forcément, comme il s’agit de se faire du bien, le Buddha bowl est en général bio. Mais pas souvent locavore (par exemple, la graine de lotus est peu produite en France). Donc si c’est a priori bon pour la santé, le bilan carbone de chaque bol peut s’avérer bien moins bon en fonction des préparations. Le Poke Bowl Qu’est-ce que c’est ? Dernier-né de la famille des « bowls », le Poke Bowl nous vient tout droit d’Hawaï et se compose de cubes de poisson marinés dans la sauce soja, de légumes, de fruits et souvent des céréales. Un plat complet et équilibré en somme. Parmi les ingrédients les plus courus, on retrouve bien souvent le fameux saumon mariné, mais aussi le thon, ou encore le poulpe. L’Açai Bowl Qu’est-ce que c’est ? Ce bol coloré qui squatte Instagram depuis un petit bout de temps déjà est la tendance healthy qui nous arrive tout droit des Etats-Unis. A la base de cette recette, la baie d’açaï, une baie aux vertus antioxydantes venue directement d’Amazonie. Impossible à trouver frais dans nos contrées, il s’achète congelé puis se mixe en général avec de la banane puis s’agrémente de fruits frais, de granola, de chocolat… A vous d’être inventifs ! Source: https://healthy.lebonbon.fr/tendance-food-la-folie-des-bowls-decryptee/ Photo: Pinterest Source: https://healthy.lebonbon.fr/tendance-food-la-folie-des-bowls-decryptee/ Photo: Pinterest           J’aime ça :J’aime chargement… [...] Lire la suite…